mercredi 1 avril 2020

Faites évoluer votre cerveau.

Evolve your brain. The science of changing your mind. Faites évoluer votre cerveau. L’explication scientifique de la transformation de votre esprit par le Dr. Joe Dispenza.
Cet ouvrage de 575 pages qui a été publié en 2007 aux Etats-Unis en anglais par les éditions Health Communications Inc., comporte 12 chapitres. Le but de l’ouvrage est de donner l’explication scientifique de la transformation de l’esprit et de ses conséquences pour la santé et le bien-être.
Dans son avant-propos, Amit Goswami, Ph D et Professeur de Physique, évoque le changement de paradigme en cours dans le monde scientifique et qui se traduit par une inversion des rôles entre le cerveau et la conscience. En effet initialement considérée comme un épiphénomène du cerveau la conscience est devenue le fondement de l’être, et le cerveau un épiphénomène. Comment amener le cerveau à bien jouer son rôle tel que défini par le nouveau paradigme ? Comment l’utiliser de façon optimale pour attendre les objectifs de la conscience ? Telle est la question à laquelle répond ce livre. C’est un manuel d’utilisation pour le cerveau. Parmi les sujets importants abordés dans ce livre, il y a l’intelligence émotionnelle, qui consiste à faire attention à nos émotions et ne plus nous laisser malmener par celles-ci. En physique quantique, on parle d’ondes de possibilité ; la conscience est la structure de base de la réalité et la matière existe dans ce cadre comme possibilités quantiques. L’observation consiste à choisir parmi ces possibilités, ce qui deviendra notre expérience, notre vécu. C’est la concrétisation d’une possibilité quantique. Comment se mettre en connaissance de cause dans les états de conscience qui nous permettent de choisir dans le champ quantique des possibilités notre devenir et non plus de le subir ?
Nos pensées provoquent des effets physiques réels dans notre organisme ; production d’hormones, de substance neurochimiques et d’enzymes, tempête dans le cerveau à cause d’une activité électrique plus intense, changement du rythme cardiaque, des messages sont envoyés à notre système immunitaire, etc. Cet ouvrage nous suggère des pistes pour une meilleure gestion de notre environnement interne. Sur quoi portons-nous notre attention ? Et pour quelle durée ? La réponse à ces deux questions permet de nous situer sur le plan neurologique. Notre attention donne vie à tout ce sur quoi elle porte et rend réel ce qui était initialement sans importance et irréel. Ce à quoi nous pensons de façon répétée et ce sur quoi nous focalisons notre attention, c’est ce que nous devenons neurologiquement. Notre cerveau n’est ni statique, ni rigide, ni fixe. Nous pouvons changer notre cerveau juste par la pensée. Quelle est cette chose qui nous préoccupe, que nous répétons sans cesse, à laquelle nous pensons continuellement et qui finit ainsi par se manifester ? L’auteur espère que la lecture de ce livre nous aidera à comprendre pourquoi nous en sommes devenus ce que nous sommes, comment nous sommes parvenus là où nous sommes, et ce qu’il faut pour changer cet état de chose par des pensées et des actions intentionnelles.
Evoluer, c’est s’affranchir des habitudes génétiques malsaines et utiliser ce que nous avons appris comme une plateforme sur laquelle nous placer pour mieux avancer.
Nous pouvons, en une vie, apprendre de nouvelles choses, nous libérer de l’emprise de mauvaises habitudes, changer nos croyances et nos perceptions, surmonter des situations difficiles, maîtriser des compétences, et mystérieusement devenir des êtres différents. Nous sommes beaucoup plus capables de modifier notre cerveau, notre comportement, notre personnalité et finalement notre réalité, que nous ne le croyions possible.
Nous avons un docteur intérieur efficace, chargé de nous maintenir en santé, guidé par une intelligence innée, que je serais tenté de qualifier de supérieure, que nous devons apprendre à mettre à contribution sans le gêner par notre éducation. Cette intelligence innée est déjà à l’œuvre sans que nous en soyons conscients ; elle fait fonctionner tous les organes et veille au bon déroulement de tous les processus biologiques (respiration, digestion, etc.).
L’auteur nous parle de l’accident grave qu’il a eu à l’âge de 23 ans et de la décision prise de ne pas subir l’opération chirurgicale pourtant fortement recommandée par ses médecins. Il a pu guérir sans suivre un traitement médical, faisant ainsi une expérience de guérison spontanée qui lui a permis de mieux comprendre comment par nos pensées nous pouvons faire agir l’esprit sur la matière. Ce livre n’aurait pas existé s’il avait accepté de se faire opérer, et s’il n’avait pas fait de recherches poussées sur la question.
Nos pensées affectent non seulement notre organisme, mais aussi notre vie. Le concept de superconscience suppose le contrôle de la matière par l’esprit et l’influence de l’esprit sur la réalité. La croyance en une pensée fait intervenir dans notre vie une force supérieure qui fait en sorte que ce en quoi nous croyons fermement se réalise, indépendamment des circonstances extérieures.
Cet ouvrage ne traite pas seulement des maux physiques, mais aborde aussi la question de la dépendance émotionnelle qui se traduit par une vie monotone, sans relief, entre autres.
La guérison de nos blessures émotionnelles par la modification de nos réseaux de neurones est possible. Le dogme de l’immuabilité et de la rigidité du cerveau a longtemps prévalu dans les milieux scientifiques, ce qui a fait dire que notre destinée était inscrite dans nos gènes. On sait désormais que le cerveau est doué d’élasticité et de la capacité de former des circuits de pensée et d’en créer d’autres et cela à tout âge, à tout moment.
Imaginez ces situations où vous êtes paralysé par la peur et le doute et envahi par un sentiment d’impuissance. Vous pouvez surmonter ces sentiments et vous sentir sereins et en sécurité ; vous pouvez dominer vos phobies et affronter les occasions où elles se manifestent avec calme et assurance.
Comment ce malade souffrant de leucémie et à qui les traitants n’avaient donné que six années à vivre a-t-il pu rester vivant plus de vingt cinq ans après ce pronostic sans aucun traitement médical ? Il suffit de le décider.
Cet ouvrage nous invite à prendre conscience des schémas de pensée néfastes et des émotions malsaines qui en résultent, et dont nous sommes devenus dépendants à force de les avoir ressassés pendant de longues années. Cela peut expliquer ces maladies physiques et mentales dont certains souffrent et qui semblent résister à tous les traitements administrés.
L’auteur a répertorié de nombreux cas de guérisons spontanées, certains diraient miraculeuses de maladies réputées incurables parce que résistant à tout traitement, que ce soit par la médecine conventionnelle ou par la médecine alternative. Et les patients concernés souffraient de maladies graves telles que les tumeurs cancéreuses, l’hypertension, les troubles cardiaques, les troubles de la vue, le diabète, les problèmes respiratoires, dentaires, de thyroïde, les rhumatismes, des maladies génétiques rares, etc. avant leur guérison définitive. L’auteur a appliqué la démarche scientifique pour étudier ce phénomène et nous dit que toute personne peut l’expérimenter à condition de procéder comme ceux des cas étudiés. Il est question d’utiliser à bon escient le pouvoir de la pensée.
L’étude de l’organisme humain, de sa structure, de son fonctionnement et des mécanismes complexes qui s’y déroulent sans que nous en soyons conscients, montre que chacun de nous est doté de cette intelligence innée, l’esprit subconscient qui a un pouvoir supérieur à celui de tout remède, traitement ou thérapie et qui n’attend que nos directives pour nous guérir quand nous sommes malades. Notre « état d’être » est défini par nos pensées et notre ressenti habituels. Ce à quoi nous pensons et l’intensité de nos pensées influencent notre santé, nos choix et en définitive, la qualité de notre vie. Pour guérir, le malade doit s’émanciper de ces schémas de pensées néfastes devenues habituelles et en adopter de nouvelles bénéfiques et favorables.
Les pensées répétitives sont comme des programmes d’ordinateur qui fonctionnent en arrière-plan de nos vies toute la journée et tous les jours. Les pensées conscientes, répétées assez souvent deviennent des programmes automatiques inconscients de pensée. S’affranchir d’un schéma de pensée devenu inconscient nécessite prise de conscience et effort.
Les expériences, les nouvelles pensées et les choses apprises modifient physiquement notre cerveau ; c’est la neuroplasticité. Le cerveau est moulable et souple à tout âge. A cette notion, il faut ajouter la neurogenèse ; le cerveau adulte peut créer de nouvelles cellules cérébrales et des parties endommagées du cerveau peuvent être restaurées.
La méditation ne modifie pas seulement la fréquence des ondes cérébrales, elle permet aussi de produire de nouvelles cellules cérébrales. L’esprit est le cerveau en action ; il ne saurait se réduire au cerveau.
La conscience a deux aspects : la conscience objective qui est la force de vie, la source, le champ de point zéro, c’est le subconscient, et la conscience subjective situé dans le néocortex, c’est la parte consciente de l’esprit. Il est question d’unir l’esprit conscient et l’esprit infini qui a un potentiel illimité, afin d’accéder à un monde de nouvelles possibilités.
Le lobe frontal du cerveau est le siège du libre arbitre, il permet de choisir chacune de nos pensées et de nos actions et donc de contrôler notre destinée. Au terme d’une étude détaillée de la structure du cerveau l’auteur déclare que nous disposons d’un potentiel illimité. C’est en effet un superordinateur doté du plus puissant processeur, du système d’exploitation le plus avancé et du plus grand disque dur. L’espèce humaine, l’homo sapiens sapiens, n’est vieille que de quelques centaines de milliers d’années et par conséquent ne sait pas encore utiliser efficacement le cerveau. Les neurosciences, assez récentes du reste, ont permis de progresser dans la connaissance de cet organe grâce au développement de la technologie qui permet de l’observer en activité.
La théorie de la table rase d’Aristote, selon laquelle le nouveau-né vient avec un cerveau vide est battue en brèche. Il existe déjà des circuits neuronaux et des connections synaptiques correspondant à la fois à l’héritage génétique de l’espèce humaine et à celui de ses parents.
Le processus de mémorisation passe par la mémoire sémantique ou à court terme et la mémoire épisodique ou à long terme. Les expériences accompagnées d’émotions fortes quand les cinq sens sont mis à contribution se gravent dans notre mémoire à long terme. C’est par l’apprentissage et le vécu de nouvelles expériences que de nouveaux circuits neuronaux et de nouvelles connexions synaptiques se forment et s’ajoutent à celles dont nous avons hérité à la naissance.
Notre cerveau est un organe complexe dont le fonctionnement n’est pas encore bien cerné malgré les progrès fulgurants accomplis ces dernières années. Les deux hémisphères qui le constituent ont notamment des rôles différents, et il semble que cerveau gauche, siège de la parole et de la logique est beaucoup plus sollicité dans un monde dominé par l’approche scientifique et la démarche rationnelle qui lui est inhérente. Mais cela ne suffit pas pour appréhender un organe dont le rôle spirituel indéniable semble avoir été quelque peu négligé par les occidentaux.
Le savoir sans expérience est philosophie, tandis que expérience sans savoir est ignorance. La sagesse, c’est le savoir expérimenté.
La vie en mode survie ou réponse au stress prolongé est totalement déconseillée ; c’est l’origine des maladies dont nous souffrons parce que les ressources de l‘organisme sont affectés à sa défense et à sa protection au détriment des fonctions de régénération et de réparation.
A chaque pensée correspond une émotion, un ressenti et des substances chimiques bien précises. On comprend donc que l’on puisse parler d’accoutumance ici, qui explique que nous ayons peur de la nouveauté et de l’inconnu, parce que nous sommes comme des prisonniers qui préfèrent ressentir les mêmes émotions, même si celles-ci sont nuisibles. Quand les cellules ne reçoivent pas ces peptides auxquelles elles sont habituées, elles intiment au cerveau de les produire et pour y parvenir il faut entretenir les mêmes émotions et les mêmes pensées et notre mémoire est mise à contribution pour cela.
L’organisme humain est une véritable usine chimique et Candace Pert, auteur de l’ouvrage intitulé « les molécules d’émotions » affirme qu’il y a un cerveau chimique. L’expression des gènes dépend du type de peptides reçus par la cellule et se traduit par la synthèse d’un certain type de protéines. Nous n’exprimons que 1,5% de nos gènes et les 98,5% ont été jusqu’ici considérés comme des déchets, alors que c’est une réserve énorme de potentiel dont l’activation est conditionnée par la réception de nouveau types de peptides par la cellule.
Notre état de santé dépend des protéines synthétisées, et la synthèse des protéines est fonction des gènes exprimés et cette synthèse est déterminée par le type de peptides reçus au niveau de la cellule. Le type de peptides est fonction des émotions ressenties, lesquelles dépendent des pensées entretenues. En résumé notre santé est définie par le type de pensées que nous entretenons.
De quel type de substances chimiques produites par notre organisme sommes-nous devenus dépendants ? À quelles émotions et à quelles pensées correspondent-elles ? Les idées émises pendant notre monologue interne souvent différentes de celles que nous exprimons à haute voix sont autant d’indications.
« Je ne peux dire de quel pouvoir il s’agit : tout ce que je sais, c’est qu’il existe et devient disponible seulement quand on est dans un état d’esprit où l’on sait exactement ce qu’on veut et qu’on est déterminé à le réaliser. » Alexandre Graham Bell.
Grâce au lobe frontal ou cortex préfrontal que l’auteur appelle « une merveille du progrès dans le processus de l’évolution de l’espèce humaine » il est possible de sortir de la routine, d’échapper au cercle vicieux ou nous sommes installés en mode survie. La description des patients lobotomisés montre de grandes similitudes avec ceux qui sont en mode survie. L’auteur parle même d’une auto-lobotomisation. C’est en bien utilisant et en contrôlant le lobe frontal au maximum que nous pouvons parvenir à connaitre et à contrôler nous-mêmes et notre futur. La volonté, notamment de penser au-delà de notre ressenti et la capacité du lobe frontal de faire focaliser notre attention, voilà ce qui nous distingue des autres espèces. Des 400 milliards de bits d’information traités chaque seconde par le cerveau, le lobe nous permet de ne porter notre attention que sur 2000.
Veillons à utiliser à bon escient cette capacité inhérente à notre espèce de choisir sur quoi et pendant combien de temps porter notre attention ; selon l’usage que nous en ferons cela peut être un atout ou une malédiction. Nous pouvons rendre notre lobe frontal plus performant, en augmentant notre capacité de concentration, par l’entrainement.
« Another demonstration of the power of the frontal lobe involves certainty and clarity of choice. When we make up our mind about something, independent of present circumstances, the frontal lobe experiences its greatest moment. When we firmly resolve to be, do, or even have something-regardless of how long it will take, or what is happening in our environment, or how our body feels at that particular moment-we spark this structure of the brain into action. »
« What is so amazing about our brain and the frontal lobe is that we have the ability to make a thought become the only thing that is real to us. When we make our thoughts all that is real and we pay attention to them as if they were, we unite the frontal lobe's primary functions into a force
as powerful as anything in the universe. » Nous pouvons concevoir et concrétiser une réalité complètement différente de celle vécue actuellement.
« Maybe faith operates when we hold a particular intention in our mind for an outcome, and we trust and believe in that outcome more than we believe in what the external world is telling us. »
«It takes effort to think and to contemplate new possibilities that exist beyond right and wrong and beyond known and unknown choices, and that means we have to interrupt the programs that are hardwired in our brain. »
« Through mental rehearsal, attention, and repetition, and by firing new neural networks in new
patterns, we cause communities of neurons to wire together in new combinations to create a new level of mind. »
« As we build new neural networks (patience) and eliminate old ones (impatience), theoretically we send new chemical and neurological information to the cells of the body, which then change their old receptor sites. »
En alignant le corps et l’esprit, nous bénéficions du soutien de la force de l’univers.
L’objectif de l’auteur en écrivant cet ouvrage est de nous apprendre à construire un nouvel esprit en faisant évoluer notre cerveau. Il est question de profiter de la biologie du cerveau, notamment des énormes capacités du lobe frontal de construire de nouveaux circuits au détriment de ces anciens circuits démodés et inutiles. Cela commence par la répétition mentale.
La seule chose qu’il nous faut pour développer de nouvelles habitudes en abandonnant celles qui sont vieilles et nuisibles est la concentration focalisée, la volonté, la connaissance et la compréhension.
On distingue deux types de mémoires, la mémoire explicite qui siège dans le néocortex et la mémoire implicite qui siège dans le cervelet. C’est par la répétition mentale et la pratique impliquant nos sens que la mémoire explicite devient mémoire implicite. La deuxième catégorie, ce sont ces choses que nous faisons automatiquement, sans y penser.
« If we receive great knowledge and expert instruction, and we can properly apply that information to produce action, we should expect to accomplish exactly what we set our mind to do. »
Avec les savoirs appropriés, l’instruction et le feedback, il est possible de remplacer les anciens schémas de pensée, d’action et d’être par de nouveaux schémas et faire évoluer notre cerveau par de nouvelles connexions synaptiques et nouveaux réarrangement réseaux neuronaux.
Le processus de changement vise à passer de personne inconsciemment incompétente à inconsciemment compétente en passant par consciemment incompétente, puis à consciemment compétente.
Il est possible de contrôler la pression artérielle grâce au biofeedback et d’une façon générale, on peut consciemment agir sur des fonctions qui sont du domaine du subconscient.
Nos pensées influent-elles sur notre réalité ? Les pionniers à la frontière de la science du cerveau fournissent de plus en plus de preuves pour répondre par l’affirmative à cette question. Comment est-ce possible ? C’est la physique quantique qui donne des indications pour répondre.
Avec son approche rationnelle et logique Descartes a séparé la matière de l’esprit. Et il a dit que la matière obéit à des lois scientifiques, tandis que l’esprit relève de la philosophie et de la religion. Ceci a été remis en question quand on a constaté que le comportement des particules est influencé par l’observation. La nature (onde ou particule) qu’ils affichent dépend s’ils sont observés ou non. C’est ainsi qu’on a commencé à soupçonner que l’esprit peut avoir une influence sur la matière, brisant ainsi la barrière érigée par Descartes entre les deux mondes.
Il existe un champ d’énergie au-delà du temps et de l’espace, qui nous unit tous. La réalité est un champ de possibilités infinies sur lequel nous pouvons exercer une énorme influence, à condition de se mettre dans le bon état d’esprit.
Changer notre esprit, c’est changer notre perception de la réalité, c’est changer notre vie.
L’environnement est maintenant le produit ou le reflet de notre esprit, qui a déjà expérimenté et enregistré l’évènement à venir. Le cerveau est en avance sur la réalité et par la répétition mentale, il est possible de modifier notre cerveau avant la réalité, et cet organe n’est plus seulement un enregistrement des évènements passés, mais aussi de ceux futurs.
« To pray is to hold a single thought or idea of an outcome in the mind, and make it more real than
our present circumstances. It is intentional thought, which affords us the opportunity to make contact with a greater mind. When we can call upon that innate intelligence living inside of us by making our desire the only real intention, it will answer the call. »
Il y a d’innombrables évènements dans les univers possibles infinis de la physique quantique, et nous pouvons envisager de nouvelles expériences pour nous. Il est possible vivre dans un futur que nous n’avons pas encore expérimenté par nos sens, mais qui existe dans notre esprit. Il ne suffira pas de consacrer peu de temps et d’effort pour transformer notre esprit, il est question de devenir cet esprit même de telle sorte qu’il soit naturel et facile d’exprimer notre nouveau soi.
Il est possible d’exprimer de meilleures versions de nous-mêmes, et donc en fin de compte de nous retrouver dans une nouvelle vie avec de nouvelles circonstances.
090919

Jean-Claude TCHASSE

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