dimanche 31 décembre 2017

The Secret code of success : 7 hidden steps to more wealth and happiness by NOAH St. JOHN.

The Secret code of success : 7 hidden steps to more wealth and happiness by NOAH St. JOHN. Le code secret du succès : 7 étapes cachées vers plus de richesse et de bonheur par NOAH St. JOHN.

Ouvrage de 254 pages préfacé par Jack Canfield publié aux éditions Harper Collins en 2009. L’auteur se propose de donner les raisons pour lesquelles beaucoup souhaitent réussir, mais très peu y parviennent. La plupart des personnes qui se sont procuré les livres, des CD et ont participé aux séminaires organisés par les gourous du self help finissent déçus, pour n’avoir pas atteint leur objectif, qui était de réussir. Ces livres finissent sur les étagères des bibliothèques, inutiles. L’auteur parle ironiquement de « shelf help books », en référence aux étagères des bibliothèques.
Alors, pourquoi c’est si difficile de parvenir au succès ? La réponse est la suivante. Notre esprit comprend deux parties : la partie consciente, et le subconscient. Pour avoir une idée de l’importance de ceux deux parties, on représente l’esprit par un iceberg ; la partie visible, qui représente à peine 10% de l’ensemble étant la partie consciente, tandis que la partie invisible, qui fait au moins 90% de l’ensemble, est le subconscient. Notre volonté de réussir est dans la partie consciente, tandis que les raisons de ne pas réussir, nombreuses, et échappant à notre conscience, sont hébergées par notre subconscient. Nous voulons donc réussir, tandis que les bonnes de raisons de ne pas réussir existent dans notre subconscient et nous bloquent, sans que nous en soyons conscients !Voilà pourquoi la plupart de nos entreprises visant à échapper à la pauvreté et à la misère sont vouées à l’échec. Nous sommes comme ce conducteur qui accélère, mais qui maintient son pied sur le frein, sans le savoir. L’auteur veut nous apprendre à accélérer en libérant le frein.
L’auteur dit qu’il n’expliquera pas comment réussir, parce qu’on le sait déjà, mais qu’il est temps de nous permettre nous-mêmes de réussir, en dégageant le pied de la pédale de frein. Il est question d’aller dans le subconscient chercher, pour les démonter et pour s’en affranchir, les raison de notre refus, voire de notre rejet inconscient du succès.
Par analogie avec le désordre alimentaire qui pousse certaines personnes à refuser de s’alimenter, l’auteur développe l’idée du « désordre du succès », dont nous souffrons en majorité, et qui nous conduit à repousser et à rejeter le succès. Tout comme celui qui souffre de désordre alimentaire et qui s’affame et se prive de nourriture veut porter atteinte à son corps ( ce qu’il a de précieux) en s’infligeant des souffrances physiques, celui qui souffre de « désordre de succès » manque d’estime de soi ; l’idée qu’il se fait de lui-même n’est pas très valorisante, et il veut se punir en refusant le succès. L’auteur présente sa découverte qu’il a faite le 20 octobre 1997, comme l’anorexie du succès ; c’est le refus inconscient du succès et cela affecte un très grand nombre de personnes.
Le succès dont il est question ici, c’est celui atteint par 3% de la population mondiale, dont les possessions équivalent celui des 97% restants. Ces 3% ont pu désinstaller les raisons de ne pas réussir, et puis installer et parfois sans le savoir les bonnes raisons de réussir dans leur subconscient ; ils se contentent d’expliquer comment ils pensent avoir réussi, sans donner les raisons profondes de leur réussite. Il faut dire que certains ont réussi naturellement, sans avoir à faire le travail de déconstruction, parce que les bonnes raisons de réussir étaient déjà installées dans leur subconscient. (Mark Zuckerberg, Bill Gates, etc.) Le Code secret du succès révèle ce que font inconsciemment les membres de ce cercle fermé.
Le code secret se présente sous la forme d’une pyramide à sept niveaux ; il y a donc sept étapes à suivre. Il l’appelle la pyramide de la permission, puisqu’il s’agit de se permettre de réussir.
La première étape du code, ou le premier palier de la pyramide ce sont les « afformations », pas les affirmations ; ce sont les bonnes questions, les questions capacitantes. Le but est de changer sa pensée, de changer les croyances dominantes. Il pense que les affirmations ne sont pas très efficaces et propose les « afformations » comme alternative, puisque les bonnes questions contribuent à former et à implanter de nouvelles pensées positives dans notre esprit. L’auteur nous apprend que nous utilisons déjà les « afformations » sauf que nous nous posons de mauvaises questions, suggérant ainsi que nous sommes pauvres, limités, incapables, etc..ces « afformations » sont donc une méthode rapide de reprogrammation du subconscient puisqu’elles permettent de surmonter et de surpasser les croyances négatives. Ce sont des questions qu’on se pose en supposant l’objectif poursuivi déjà atteint. Ainsi au lieu de « pourquoi ai-je si peur » ? on demandera : « pourquoi suis-je si rassuré ? » Notre vie est le reflet de nos croyances profondes. Il existe un mécanisme qui enregistre nos pensées dominantes, celles qui sont implantées dans notre subconscient et nous les reflète : c’est la vie. On pose la question au cerveau en lui faisant une confiance totale et absolue pour trouver la bonne réponse. Généralement les réponses tardent à arriver à cause de la conviction sous-jacente que notre cerveau n’est pas capable de nous donner satisfaction en raison de notre propension à nous attendre au pire, et devinez quoi ? le cerveau ne répond pas de façon satisfaisante, car ainsi programmé ! Il est question de faire totalement confiance à la capacité de notre cerveau de réagir rapidement et efficacement. Les potentialités du subconscient demeurent largement inexplorées.
La deuxième étape peut se traduire par Miroirs aimants et havre de sécurité, en référence à des coaches ou des mentors dont toute personne a besoin pour être motivée ; l’auteur dit qu’il est difficile, voire impossible de s’auto motiver, dans la mesure où l’idée que nous avons de nous-mêmes est souvent déformée, donc non conforme à la réalité. Nous avons absolument besoin de ces personnes, des miroirs aimants qui vont nous encourager, même quand nous-mêmes doutons de nos capacités, quelqu’un qui nous dira « tu peux », quand nous disons « je ne peux pas » ; il nous poussera à réaliser notre potentiel, à aller au-delà nos limites. Nul ne peut réussir sans l’aide des autres. L’auteur propose des exercices visant à nous faire de nous même l’idée la plus proche de la réalité. Il y est question d’aller creuser au fond de nous-mêmes pour en extraire ces idées négatives qui bloquent notre progrès et qui y sont enfouies depuis des décennies pour certaines ; ce sont des qualificatifs et autres propos dévalorisant venant de nos proches (amis, parents, pairs, enseignants, collègues, etc. ) et parfois de nous-mêmes, que nous avons intériorisées.
La troisième étape du code est le système de soutien. Comme notre organisme, notre vie et nos entreprises sont constitués de structures et de systèmes, le problème étant que beaucoup ne savent ni de quels systèmes leurs vies et leurs affaires sont constitués, ni de comment les réparer en cas de panne. La fonction d’une vie individuelle est qu’elle soit menée de la manière que nous souhaitons ; chacun doit pouvoir vivre comme il l’entend, comme il le souhaite. La fonction d’une entreprise est de procurer à un ensemble de personnes de la valeur sous forme de biens et de services, tout en tirant profit de cette activité. En ce qui concerne notre vie, se déroule-t-elle de la manière dont nous l’imaginions quand nous étions plus jeune ? En sommes nous satisfait ? Sommes-nous résignés, découragés, désabusés ? L’auteur identifie cinq systèmes de support nécessaires à notre vie et à notre entreprise ; les personnes, les activités, l’environnement, l’introspection, simplification. Si l’un de ces systèmes vient à tomber en panne ou à connaître des dysfonctionnements, alors l’individu va souffrir : les revenus vont chuter, la paix de l’esprit, la santé, le bien être, les relations vont en pâtir. Comme le système digestif ou le système circulatoire, ces systèmes fonctionnent indépendamment de notre volonté, mais il y a des actions à mener pour rendre leur fonctionnement optimal. Parlant de l’environnement, il distingue l’environnement externe (physique) et l’environnement interne (émotionnel et spirituel). Les deux plus grands blocages émotionnels sont la peur du futur et le ressentiment pour certains évènements passés. Sur le plan spirituel, le plus grand blocage vient de ce que très peu de personnes croient qu’il puisse leur arriver un miracle. Parlant d’introspection, l’auteur nous dit que le fait de nous focaliser sur ce que nous n’avons pas et sur nos échecs ne peut nous permettre de progresser ; on ne réussira qu’à attirer plus d’échec et de défaillance. C’est cela la manifestation de la mentalité de manque, de pénurie. L’auteur recommande de simplifier notre vie et de rationnaliser (streamline) notre entreprise. Il évoque le concept de win-win-win qui consiste en ceci : celui qui simplifie et rationalise gagne, son collaborateur gagne, et le monde gagne. Tout le monde y trouve son compte. Ceci tranche nettement avec l’image de ces riches qui sont avares, cupides, égoïstes. La vrai richesse ne se réduit pas à gagner beaucoup ; cela signifie surtout aider plus de personnes, toucher, influencer positivement plus de vies, rendre le monde meilleur. Nous sommes malheureusement entourés de mauvais riches, prêts à provoquer des guerres s’il le faut pour réaliser leurs ambitions égoïstes. On voit généralement des commerçants et des hommes d’affaires véreux et sans scrupules, prêts à tromper et à escroquer leurs clients ; « business is business », disent-ils. Du coup l‘enrichissement, même quand il n’est pas illicite, la recherche du gain sont mal perçus, et même présentés comme des péchés.
La quatrième étape du code, ce sont les zones sans objectifs et la chirurgie de remplacement d’objectifs. Pour réussir, il faut sortir de cette routine dans laquelle nous sommes installés et qui nous pousse à reproduire les mêmes attitudes et comportements peu favorables au succès. Ces habitudes qui ont la peau dure et qui sont « une seconde nature » résultent d’une mauvaise programmation de notre subconscient par des pensées négatives du type « je ne peux pas y arriver », « on va faire comment », « cela me dépasse », « je suis condamné à être pauvre et malheureux », etc. Les zones sans objectifs sont des périodes et des lieux où l’on se donne la permission de cesser de se fixer des objectifs. Parmi quelques avantages cités, il y a la détente qui nous éloigne du surmenage, et nous évite le stress ; c’est le moment favorable pour écouter son intuition, être inspiré, et avoir de bonnes idées. Ceux qui s’accordent ces moments de relaxation sont plus productifs que ceux travaillent sans arrêt, en réduisant au minimum le temps de repos. L’auteur nous fait remarquer que les personnes riches – celles qui gagnent des millions de dollars par an – sont pour ainsi dire anormales, puisqu’elles ont des attitudes différentes de celles la grande majorité qui pense que la richesse est le résultat d’un travail dur et acharné, mais qui reste pauvre. Ceux qui sont pauvres et fauchés doivent admettre que l’on bouscule leurs idées, que l’on remette en question leurs convictions ; s’ils veulent devenir riches et heureux, ils doivent changer d’attitude, adopter les comportements de ceux qui ont déjà réussi. La chirurgie de remplacement des objectifs sert à savoir si nos objectifs sont de l’ordre du possible, car il faut le dire certains poursuivent des objectifs impossibles à atteindre. Et pour savoir si nos objectifs sont réalisables, l’auteur nous demande quels sont nos principes de vie ; ce sont ces principes qui détermineront si ces objectifs peuvent être atteints.
La cinquième étape consiste à répondre aux questions : qui essaies-tu de punir, de protéger,  à qui essaies-tu de plaire ? Sans en être conscients, beaucoup de personnes s’empêchent de réussir pour punir, protéger ou plaire à une tierce personne. La pensée « je vais lui montrer » peut être un puissant stimulant pour réussir. La volonté de faire plaisir, la recherche de l’approbation, la peur de la réprimande peuvent pousser à rechercher ou à éviter le succès. La peur est ce sentiment que nous éprouvons quand nous nous entrevoyons un évènement qui va nous faire mal ; cela arrive quand une situation est hors de notre contrôle.
La sixième étape consiste à retrouver sa capacité à dire non sans éprouver un sentiment de culpabilité. Ce n’est pas seulement une erreur de vouloir plaire à tout le monde, c’est surtout la seule voie sûre qui mène à l’échec, selon Benjamin Franklin. Etre capable de dire non à soi-même est important, surtout quand il nous arrive de nous engager dans des activités qui conduisent à la perte de notre énergie, de notre temps ou de notre argent. Parmi les attitudes qui causent la perte de nos ressources (temps, argent, énergie), il y a la procrastination, cette tendance à différer, à remettre à plus tard. Cette propension coûteuse est causée par la peur. Il est question de passer nos activités en revue, et de voir ce qu’elles nous coûtent. Nous souhaitons avoir plus de temps, d’énergie et d’argent ? C’est bien, mais commençons déjà par bien utiliser le peu dont nous disposons. Savoir dire « non » gentiment, sans heurter autrui est une bonne disposition. L’auteur aborde la question de l’intégrité et insiste sur la nécessité de cultiver et de développer cette qualité. Ceux qui prennent des libertés avec cette valeur envoient le message qu’ils sont dans le manque et ils en manifestent plus dans leurs vies.
La septième étape du code consiste à identifier nos motivations profondes ; quel est le but de notre présence sur Terre, quelle est notre mission, pourquoi Dieu nous a-t-il créé ? Cela nous permettra de prospérer en étant au service des autres. Celui qui y parviendra deviendra instoppable ou inarrêtable. Cela se fera en trois étapes : définir nos compétences (forces, capacités, réalisations), identifier nos modes d’expression ; relâcher notre esprit, et tout ce qu’il faut faire pour réussir la dernière tâche, c’est de changer notre opinion au sujet de notre passé, de notre présent et de notre futur.
L’auteur nous exhorte à suivre les étapes du code, en les mettant effectivement en pratique ; c’est seulement de cette façon que l’on pourra tirer profit des nombreux conseils dont regorge l’ouvrage et qui nous permettront d’atteindre l’objectif du livre : gagner plus d’argent, être de pplus en plus riche, avoir de meilleurs rapports humains, être mieux connecté à Dieu.
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Jean-Claude TCHASSE

jeudi 21 décembre 2017

Excerpts of the book Prosperity consciousness by Thomas Michael Murasso.

Excerpts of the book Prosperity consciousness by Thomas Michael Murasso.

Realize however, that wealthy people never feel uncomfortable concerning money. It’s not because they already have money either. People don’t feel comfortable about money because they have it. They have money because the feel comfortable about money!
Wealthy people have developed a Prosperity Consciousness concerning money and it stands to reason if you want lots of money you will need to develop Prosperity Consciousness as well.
How do you go about developing Prosperity Consciousness? The best way is with the power of thought.
Start seeing yourself as if you already possessed the amount of money you desire.When you succeed in convincing your subconscious mind that you are wealthy and that it feels good to be wealthy, your subconscious mind will unfold and make the image you have formed manifest into reality.
If you want more money, it is imperative that you release any and all fear and worry about whether or not you will get it.
Know that you are responsible for creating your life. No one and no thing can change your reality but you. Most people who fail to accumulate the money to live the life they desire are the same people who are easily influenced by other people’s opinions.
When you think prosperity and begin to hold thoughts of yourself as wealthy swimming in a sea of abundance, your mind and body will instantly vibrate the ideal you hold and you will begin to attract everything you need to become wealthy.
But believe me, developing awareness of prosperity in your mind always proceeds creating wealth in your reality.
We must, therefore, develop an understanding of how we have been taught to think and how to change the way we have been conditioned to think about money.

A positive thought like joy, happiness and wealth creates a high vibrating frequency. The frequencies you create with your thoughts match like vibrations and are attracted to your vibrations.
Spirit = the thought of prosperity
Mental = the idea of financial freedom
Emotions = feels good
Physical = the manifested result: money and abundance

Physical = the manifested result: empty bank account
Emotions = feels bad, worrisome
Spirit = the thought of lack and loss
Mental = the idea of poverty

Since the thought of lack and loss is now the vibrational frequency they are holding in their subconscious, they are actually attracting the very thing they do not want; an empty bank account.
You must understand that your current state of affairs is the manifested result of previous thinking. If you truly want to change you results, you must change your thoughts, and you must change them now!
Deliberately form an image of yourself already in possession of the amount of money you want and living the life-style you desire

On the other hand, you also have the ability to form an image of yourself in debt and wondering how you’re going to pay the mortgage. It’s a simple choice of which image you
should hold in your mind.
Just build an image of prosperity in your mind and watch what is attracted to you. You may see some set-backs along the road, but you must continue to hold the image of prosperity. Persistence is the key.
Do not let anyone or anything discourage you… not even that inner voice of doubt.
I realize that it is not always an easy thing to do because it takes great mental strength. It means taking control of your mind to create and hold the image of what you desire. Build an image of what you desire and then act as if you have already received it.
The image of prosperity you hold in your mind can only come to you (physical manifestation) by way of the law and your belief and faith in it.

Faith is the ability to see the invisible force at work in the universe
. Faith is the ability to believe in the incredible.
As long as you keep the image of the good you desire in your mind, you will always receive your desire.
You understand you cannot have wealth in the physical world until you have first visualized wealth in your mind. You must create an image of your desire.
It means that before we can overcome limitation and the poverty consciousness that is buried deep within.
Identify desire and form an image, give your desire attention, energy and focus and without a doubt, expect to receive it.
That’s good news because you have the ability to change your thoughts which change the vibrations you send and consequently your results will change. You can improve your life just by changing your thoughts.
The images you form in your mind set up a vibration by which the Law of Attraction manifests the form in your reality. If your image is focused you will receive the desired results.
You will never get into harmony with prosperity if you insist on thinking of lack and limitation.
When we fix it firmly in our minds that the service that money provides is different from the love of gain, profit and advantage, then we can positively view money as a tool, not as a goad or something to hoard.
The Bible says you ‘cannot serve God and mammon.’[Luke 16:13] Mammon represents hoarded money—that which is not placed into circulation. Money in circulation is God in action. Money, which is hoarded, is useless, for money is merely the medium of exchange.



mercredi 20 décembre 2017

Excerpts of the book The power of thought by Henry Thomas Hamblin


Excerpts of the book The power of thought by Henry Thomas Hamblin

The power of thought, as Emerson says, is a spiritual power. It is the greatest power that man has at his disposal. What a man thinks, he becomes; what a man thinks is the mainspring of all his actions; what a man thinks attracts to him his circumstances and environment; what a man thinks determines what type of friends and companions will gather around him; what a man thinks decides whether he shall be happy or miserable, successful or unsuccessful, healthy or unhealthy, prosperous or poverty-stricken, hated or loved.
What a man thinks can overcome fate or strengthen it, can bring him into alignment with his glorious destiny, or make him an outcast and a wanderer in desert places. Indeed, there is no limit to the power of thought, because it is a spiritual power of intense potency.
it is the power by which he can mount up to God, it is the power which can make the unsuccessful successful in the battle of life, it is the power which can make the loftiest achievement possible, it is the power by which difficulties can be overcome, disadvantages of birth and parentage surmounted,
By thought man either blesses or curses himself. By it he brings into his life either success or failure, health or disease, happiness or unhappiness, poverty or prosperity.
Within ourselves is the cause of the disorder in our own individual world--for we each live in a little world of our own creation-- therefore, the disorder and trouble that afflicts us, or the lack that restricts our life, can never be overcome, save by a change of mind, habit of thought, and mental attitude.
THERE is the conscious mind and there is the subconscious mind. The subconscious mind is the mind of action. It is responsible for all that we do. It is a reservoir of tremendous power, it is of extraordinary intelligence. by controlling it, we control our actions, and by controlling our actions we shape our life, and overcome what is called fate.
The subconscious mind, although so wonderfully intelligent and possessed of such extraordinary powers, acts entirely upon suggestion. That is to say, it follows blindly and faithfully the thoughts that are sent down into it. Therefore upon our thoughts depends what sort of actions are brought forth.
if good thoughts are entertained, then constructive good action will result, and if strong, successful thoughts are entertained, they bring forth robust, constructive action, which leads to success and achievement.
It depends upon which class of thought we persistently dwell upon and pass to the subconscious mind, what our actions in life are to be. If we allow our mind to dwell on destructive, negative thoughts, and this, unfortunately, is often the case as it requires no effort, then destructive and negative action will be the inevitable result.
On the other hand, if we think positive or constructive thoughts--and, to do this, effort is required, just as effort is required in climbing a hill--constructive action takes place as a natural result.
On the other hand, if he will banish every weak negative thought, every thought of possible failure, and constantly brace his mind by affirmations of success--in other words, send down strong suggestions of success to his subconscious mind--such a man will succeed in life, because his actions will be strong and decisive
Whatever we think becomes sooner or later translated into action; and as upon our actions our life depends, it will be seen that it is possible by thought-control to govern our life.
Life is not a matter of chance or luck; it is not something out of our control; it is largely the result or effect of our thoughts. Therefore, by controlling our thoughts--and this, thank God, can be done--we can govern and direct our life to an almost unbelievable extent.
It is not generally known that our thoughts can be controlled and regulated
Our thoughts can be controlled and regulated in much the same manner, Undesirable, destructive thoughts can be arrested, while other thoughts of a desirable and constructive character can be encouraged.
Not only is it possible to change the subject of our thoughts, but it is also possible to refrain from thinking altogether. Both are accomplishments of the highest possible value and they can be acquired only by practice and self training; but, even the weakest of us can acquire them if we are quietly persistent.
when we become master of our thoughts we become master of ourselves, and when we become master of ourselves we become master of life itself
In a thousand and one different ways we are affected by suggestion.
 We are victims of it at every turn, unless we learn to become positive-minded and proof against suggestion in all its forms.
The poverty stricken person is advised to whisper to himself, as he falls asleep, suggestions of wealth, prosperity and plenty. If the subconscious, or, as some say the unconscious, mind accepts the suggestion, then poverty is at an end.
If, for instance, we do not overcome life's difficulties in our thoughts, then we can never overcome them in actual experience. By this I mean that our difficulties must be boldly met and conquered in thought, if ever we are to hope to overcome them actually.
if a man's mind is steadfastly directed towards a certain object, not only will he be truly successful, but the most remarkable things may happen or be achieved, beyond anything that might be hoped for or expected.
By worrying over our troubles we not only stimulate fear, one of the most destructive of the emotions, but we also wear grooves in the brain, round which our thoughts revolve in endless repetition.
the religiously-minded person encounters a thought of difficulty, trial or fear he can meet it boldly with the counter thought or affirmation: "I can do all things through Christ who strengtheneth me, therefore I will go right through this trouble in the power of Christ which is mine to use now and always." At the same time he can picture himself going through his difficulty with a push, being carried along by invisible powers.
Another type may not be able to use the religious form of affirmation, but he may use something similar but in a different form. He may meet the thought of trouble or fear by merely repeating the words: Success, victory, overcoming; at the same time picturing himself going through his trouble or difficulty triumphantly, sustained and strengthened by powers he does not understand, but which well up within him.
Some people think in the form of mental pictures. The nature of their life and the character of their circumstances, depend upon the character of their mental pictures.
If instead these mental pictures of failure, poverty, disaster, accident, disease and death are transmuted into pictures of success, prosperity, health, protection from danger and a happy old age, then these desirable states tend to manifest in the life, in place of the undesirable ones which might have appeared otherwise.
Our first thought in every circumstance of life will be, not what can I get out of it, but how much can I help
THOSE who succeed possess a certain type of mind
They think in terms of success and achievement, abundance and prosperity. The life tends, in course of time, to express the type of thought habitually dwelt upon. If we think consistently in terms of success and prosperity, then, sooner or later, we express these things to a greater or lesser degree in our life.
Men of equal abilities are not equally successful. One may appear to be lucky, while the other may appear to be most unlucky: but I am convinced that the cause of the difference is to be found in the mind.
The one has a fixed idea of success and achievement which acts as a centre around which his thoughts, both conscious and subconscious, revolve; while the other has a fixed idea or fear of failure, around which his thoughts continually turn.
Now, while it is true that one may be born with a successful type of mind, while another may inherit a failure type, yet it does not necessarily follow that the latter must always remain a failure. His type of mind can be changed. In order that this may be accomplished he does not have to enlist the services of an expensive mental specialist or practitioner; he does it himself, by a change of thought.



mardi 5 décembre 2017

POURQUOI J'ECRIS.

POURQUOI J'ECRIS.
Mon regard.
Mon regard sur mon pays : tel est en effet le titre qui peut être donné aux articles de ce blog. Il est composé de notes de lectures de certains ouvrages, des réflexions et des analyses au sujet de certains évènements ayant marqué l’histoire et l’actualité de mon pays. Ces essais représentent le regard d’un citoyen épris de vérité, de liberté et de justice, soucieux de contribuer à sa façon à l’avènement d’une société dominée par ces valeurs. C’est un regard qui se veut froid, détaché, lucide, objectif et désintéressé. J’y exprime ma déception de voir mon pays et mon continent pris en otage par des politiciens véreux et sans scrupules, tout juste préoccupés par les avantages de toutes sortes et les honneurs que le pouvoir procure, et qui sont prêts à tout sacrifier pour le conquérir et le conserver. Mon pays et mon continent me semblent trahis par ses propres fils qui ont pactisé avec une puissance hostile et dont l’entreprise de conquête, de domination et  d’exploitation à notre détriment, entamée avec l’aventure coloniale,  demeure d’actualité sous une forme moins criarde, plus subtile et toujours plus pernicieuse. Il est désolant que tout bilan objectif ne puisse être que négatif, 56 ans après les soit-disant indépendances des pays anciennement colonies des puissances européennes. En effet ce ne sont pas les ressources humaines ou matérielles qui manquent. L’Afrique a tout le nécessaire pour offrir à ses enfants une existence honorable et digne. Dans d’autres continents des pays moins bien lotis ont progressé pendant ce temps. L’Afrique reste à la traîne. C’est le théâtre de guerres civiles, des pénuries, des déficits et des carences de toutes sortes, des catastrophes, d’affrontements sanglants entre tribus, d’attentats, de coups d’états. La prolifération des sectes religieuses n’est pas le moindre des problèmes.
Au moment où je rédige cette introduction, on signale la vente comme esclaves de jeunes migrants africains qui fuient la misère et sont en route pour l’Europe, à la recherche de verts pâturages, en quête de bonnes conditions de vie. On serait tenté de croire que le continent noir est maudit, que les descendants de Cham sont sous le coup de la malédiction du Noé de l’Arche, qui les avait condamnés à être des esclaves de leurs frères. Le Cameroun est un concentré des maux qui minent l’Afrique. Décolonisation manquée, ingérence française dans les affaires, influence néfaste de la françafrique, tripotage du texte constitutionnel, taillé à la mesure du régime en place, application approximative de la loi, interdiction des manifestations, élections truquées, déficit de morale, corruption, détournements massifs de deniers publics, qui semblent défier l’opération épervier, censée combattre ces derniers maux, et qui a envoyé en prison tout un gouvernement, longévité d’un régime autocratique et corrompu, soutenu par des intellectuels en quête de privilèges et d’honneurs, tribalisme, abandon de l’école traduit par un mépris inacceptable des enseignants.
Certains textes sont des témoignages, où je rends compte de mon vécu. J’analyse les faits et je propose des solutions, des mesures à prendre, des attitudes à observer, des choses à faire pour redresser la situation. Quel pays lèguerons-nous à nos enfants ? Nous avons le devoir de nous battre pour leur offrir de bonnes conditions de vie. Qu’ils ne se croient plus condamnés, qu’ils ne se croient pas maudits, qu’ils ne se croient pas obligés de fuir. Nous devons leur montrer la voie, à défaut de leur avoir donné de bons exemples.
Le seul fait d’écrire peut-il suffire à changer positivement la situation décriée ? J’ai l’impression qu’en écrivant, je mets mon talent au service de mon pays, de mon continent. On dit que la plume de l’écrivain est une arme ; je veux informer, interpeller, conscientiser, rappeler les principes et les normes, inquiéter, sensibiliser, faire des propositions, dénoncer, me démarquer, me désolidariser des comportements répréhensibles, dans le but de provoquer des changements, de pousser à l‘action. Qui suis-je pour le faire ? À cette question, je réponds « qui faut-il être pour le faire ? ». Je suis directement concerné, touché par les retombés négatives des exactions citées ci-dessus ; ainsi quand je fais par exemple le bilan de ma carrière d’enseignant de niveau BAC+5, j’ai subi les conséquences de la mauvaise gestion des ressources et du personnel, de la violation et du refus d’appliquer les textes en vigueur, toutes choses qui m’ont empêché d’avoir la carrière valorisante et de mener la vie digne auxquelles je pouvais prétendre au vu de mes compétences, de mon dévouement, de mon abnégation et des ressources de mon pays. J’aurais pu choisir comme d’autres, de pêcher en aux troubles, de chercher à tirer mon épingle du  jeu, comme le font ces cadres qui de mon point de vue ont démissionné, renonçant ainsi à jouer leur rôle d’éclaireurs, et ont intégré le système et qui soutiennent le régime, mais pour quels résultats ? Cette attitude n’est pas du tout constructive, et c’est elle qui a conduit à la dégradation actuelle.
Et même si je n’en souffrais pas, il me semble que j’ai un devoir de solidarité envers toutes ces victimes de ces politiques inadaptées, de l’avidité et de la cupidité de ces personnes égoïstes et mal intentionnées qui écument la scène et obstruent l’horizon. Je ne vois pas comment on peut être heureux et content tout seul dans un océan de misère. Et enfin, si Dieu m’a donné ce talent de l’écriture, cette intelligence et a voulu que je sois fils de ce continent à problèmes, c’était certainement dans un but précis, c’est qu’Il avait une mission pour moi.  
Le fait d’écrire permet de coucher mes idées sur une feuille, afin de prendre du recul, pour mieux apprécier les situations vécues ; c’est aussi une modeste contribution à la mémoire collective ; c’est ainsi que s’écrit l’histoire d’un pays. Il n’est pas sûr que les journalistes saisissent toujours la complexité et tous contours et les détails d’une situation donnée. Et bien souvent les conditions d’exercice de leur profession ne sont pas de nature à favoriser une appréciation objective et rationnelle des faits vécus. Je prétends donc que ceci peut être considéré comme contribution complémentaire au travail des journalistes.
Pourquoi les dictatures empêchent-elles à leurs citoyens de s’exprimer ? Pourquoi la liberté d’expression est-elle un des droits fondamentaux de l’homme ? Pourquoi jusqu’au XXIè siècle les journalistes sont-ils encore poursuivis et pourchassés ? Parce que leurs écrits dérangent. Les auteurs d’exactions contre leurs concitoyens restent des êtres humains doués de conscience.
Pourquoi la presse est-elle considérée comme 4è pouvoir ? Pourquoi les pouvoirs en place cherchent-ils à contrôler l‘information ? Ils dépensent des fortunes pour soigner leur image dans des officines de communication.
Pourquoi j’écris ? Je me sens interpellé à le faire. J’en ressens le besoin. Ecrire pour moi est comme un besoin naturel et je dois le faire pour être soulagé. J’ai été moi-même surpris du nombre d’articles que j’ai écrits. J’exprime ma révolte, mon indignation devant les injustices perpétrées.
On ne saurait sérieusement reprocher aux écrivains et autres auteurs de se contenter d’écrire, sans passer à l‘action. C’est déjà l’action et de toute façon, la réflexion précède l’action.
Bafoussam, le 20 novembre 2017.
Jean-Claude TCHASSE.


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Les candidats à l'entrée à l'ENAM se bousculent au portillon, et mettent à contribution leurs pistons, et leurs parapluies, pour être déclarés admis, ce qui est à l'origine de nombreuses bisbilles entre ces hautes personnalités décidées à placer chacune ses protégés par tous les moyens. Le récent affrontement public très peu glorieux entre le MINFOPRA et le Directeur de cette École en est une parfaite illustration. Pendant ce temps, les nombreuses ENIEG ouvertes à travers le territoire se vident, et pour cause! Le traitement infligé aux enseignants n'est pas très motivant, alors que les administrateurs sont couverts de privilèges, dès leur sortie d'école. Ce ne sont pas ces jeunes sous-préfets récemment nommés, et actuellement en tournée, qui me démentiraient. On néglige l'éducation de la jeunesse, en y consacrant de moins en moins de fonds, et les discours annoncent néanmoins une émergence pour 2035? Par quel miracle?
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29.
Le Cameroun est un concentré des maux qui minent l’Afrique. Décolonisation manquée, ingérence française dans les affaires, influence néfaste de la françafrique, tripotage du texte constitutionnel, taillé à la mesure du régime en place, application approximative de la loi, interdiction des manifestations, élections truquées, déficit de morale, corruption, détournements massifs de deniers publics, qui semblent défier l’opération épervier, censée combattre ces derniers maux, et qui a envoyé en prison tout un gouvernement, longévité d’un régime autocratique et corrompu, soutenu par des intellectuels en quête de privilèges et d’honneurs, tribalisme, abandon de l’école traduit par un mépris inacceptable des enseignants.
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Curieux! 57 ans après nos prétendues indépendances toute l'Afrique francophone attend le discours d'un président français. Et certains se disent même déçus de son contenu. Nous attendons que ce soit un président français qui vienne annoncer la fin de la néo colonisation et de la Françafrique? Petit rappel. Tout président français est d'abord et avant tout au service de son pays. Ce qui l'intéresse, c'est ce que gagne la France, est c'est normal. Nul ne viendra de l'extérieur résoudre nos problèmes.

27.
Voilà des interlocuteurs valables et qui font propositions sérieuses pour une sortie de crise souhaitée par tous. Ce régime n'a plus aucune excuse! Moi qui ai refusé de voir sa main derrière les incendies et les agressions contre les écoliers, serai désormais le premier à l'indexer et à le tenir responsable de toutes les dérives qui seront observées à l'avenir. Un Cameroun fédéral où les différentes expressions culturelles seront favorisées est tout à fait possible!

BREAKING NEWS! LA SUSPENSION DE GÉNÉRAL VOYAGES, SUSPENDUE! LA COMPAGNIE DE TRANSPORT INTERURBAIN AUTORISÉE À REPRENDRE SES ACTIVITÉS DÈS LE 28 NOVEMBRE 2017!

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Qu'est ce que la CPI attend pour poursuivre ce Monsieur qui en détruisant la Libye a ouvert la boîte de Pandore? Le chaos en Libye, c'est lui. Les fondamentalistes salafistes ont perpétré des attentats, DAESH et Al Qaida se partagent ce qui reste de la Libye. C'est Lui le criminel, l'assassin, l'esclavagiste en Chef!

Voilà ce qui envoie les jeunes à l'aventure de l'émigration clandestine. Les débrouillards sont pourchassés et cassés non pour des besoins de salubrité, et encore! mais pour cacher la misère du peuple à l'éternel président. C'est inadmissible! L'investissement de ce jeune est ainsi cassé et détruit impitoyablement.

Finalement, les zimbabwéens avaient un problème avec Mugabe ou avec le système? Sont-ils sortis de l'auberge?
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Surpris de voir les soutiens actifs et impénitents de nos dictateurs invétérés prétendre condamner la traite des esclaves.
Big Up à Michel Eclador Pekoua. 23 ans d'existence, 1000 parutions pour le Journal d'informations régionales Ouest Echos, il faut le faire! Les cérémonies marquant le 1000è numéro, clôturées par une soirée de gala, ont eu lieu ce vendredi 17 novembre 2017 à Bafoussam. Il a fallu beaucoup de détermination à cet ancien du Messager pour lancer dans cette aventure régionale. Il a tous nous encouragements pour la suite.

19.
Voilà une vraie armée. Elle accompagne le peuple. On ne voit pas Abraham verser de l'eau contenant des substances substances irritantes ou des nombres lacrymogènes.

Il ne suffit pas d'être capable de payer son billet d'avion pour aller en Europe, il faut en plus remplir certaines conditions, pas toujours évidentes, pour obtenir un visa, devenu un véritable sésame. Cela confine parfois à l'arbitraire, quand on croit remplir les conditions et que l'on se heurte néanmoins à un refus catégorique et méprisant. C'est aussi pourquoi certains jeunes qui tiennent à partir prennent le chemin du désert. Pourquoi les africains ne peuvent-ils pas aller en Europe faire du simple tourisme? Ils doivent donner des raisons convaincantes, et surtout, prendre l'engagement de regagner leurs pays après leur séjour, sinon, Niet! On a l'impression que les ambassades et les consulats ont pour rôle de filtrer les demandes, et surtout d'empêcher gueux d'envahir leurs pays respectifs.
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17.
La traite des esclaves n'est qu'une conséquence. Il remonter aux causes profondes et se demander ce qui fait fuir ces jeunes!.

Quand il était Directeur de l'ENAM, Dong Soumet a dit Ha! à Benjamin Amama, le MINFOPRA d'alors, au sujet des résultats de l'ENAM. Amama avait déclaré que cette École ne doit pas être réservée aux fils des grandes personnalités. Aujourd'hui, il est Ministre, et Amama au garage. Vous voulez que Mendjana n'attrape pas sa chance? Surtout que cette fois il y a deux candidatures peu ordinaires. Tout cela serait risible si cette Grande École n'était pas censée former des fonctionnaires pour qui le respect de la hiérarchie est un principe cardinal.
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Les choses du Cameroun. L'Assemblée Nationale en feu! Cela se passe ce 16 novembre 2017.

Le Directeur de l'ENAM qui se fait recadrer par le Ministre de la Fonction publique! Violation des textes, insubordination, défiance, mépris de l'autorité. Voilà ce qui se dégage de tout cela. Mais ce n'est pas la première fois que cela arrive au Cameroun. Vous comprenez pourquoi ce pays est dans le caniveau?

16.
#MEA_CULPA. Je voudrais sincèrement demander pardon à toutes les personnes honnêtes et bien intentionnées que j'aurais offensées par mes propos. Les désaccords, les incompréhensions, les différences d'orientation idéologique, d'appréciation, de perception et de conviction ne sauraient justifier les invectives et les attitudes méprisantes parfois observées. Notre conditionnement mental nous a peut-être joué de sales tours. Il est vrai que certains ''amis'' sont tout sauf des enfants de chœur. Mais ce n'est pas une excuse. Il me semble que nous avons tous la responsabilité de contribuer à l'avènement d'une société conviviale, amicale et fraternelle parce que régie par l'amour du prochain, l'humilité, le droit, la justice, l'éthique et la vertu. Et cela en dépit de nos différences, qui doivent être perçues comme des sources d'enrichissement mutuel. Les personnes tolérantes, ouvertes d'esprit, préoccupées par le bien commun et l'intérêt général et qui par conséquent sont éprises de liberté, de vérité, de justice et de paix peuvent compter sur moi; leurs remarques et leurs critiques sont les bienvenues. Celles qui ne se reconnaissent pas dans ces valeurs sont encouragées à me bloquer. Mon objectif est de promouvoir et de diffuser ces principes et ces notions. Si, sachant cela vous restez mon ami, alors je vous dispense de vos remarques désobligeantes auxquelles je m'efforcerai de ne pas répondre désormais.

Au XXIè siècle on vend encore des esclaves. Cela se passe en Libye où les migrants sont vendus à 400$ pièce!

Selon Fanny Pigeaud, En 1992, M. Biya avait besoin de 45 millions de dollars pour sa campagne électorale, et d’après Alfred Sirven, ancien Directeur des Affaires Générales de Elf, Elf a accordé ce prêt, gagé sur la production future de notre pétrole. Le journal le Messager avait dénoncé la vente par anticipation de notre pétrole. Une partie de ces 45 millions de dollars a été détournée vers une société off shore située dans les îles Vierges. Selon les estimations, seulement 46% des recettes pétrolières ont été intégrés au budget entre 1977 et 2006. Le montant des recettes disparues entre 2000 et 2006 est estimé à 2,6 milliards de dollars. Le secteur de la foresterie est également concerné par la corruption et les montants en jeu donnent le tournis. Toujours la corruption ; selon la CONAC, 2,8 milliards d’euros de recettes publiques ont été détournés entre 1998 et 2004, et d’après un responsable en 2006, la corruption soustrayait jusqu’à 50% des recettes de l’Etat. 500 milliards, soit 5% du PIB finissent chaque année dans les poches d’individus. Des enquêtes du Contrôle Supérieur de l’Etat ont montré qu’au moins 1845 milliards F CFA avaient été volés entre 1998 et 2004.
14.
Le Directeur de l'ENAM viole les décrets présidentiels et défie le MINFOPRA. Voilà les «prouesses» dignes du renouveau. Personne ne connaît sa place. Que vont retenir les administrateurs formés dans ces conditions? Faut-il s'étonner de ce qu'ils soient les premiers à bafouer les textes en vigueur, et en toute quiétude? Si le juge administratif faisait vraiment son travail comme prévu et l'action recursoire appliquée aux auteurs des nombreuses violations observées, beaucoup y réfléchiraient à deux fois avant de prendre des libertés avec les lois. Quand on vous dit qu'on est en République bananière!

Au moment où de nombreux camerounais perdent la vie sur nos routes, comment comprendre que cette camionnette, surchargée avec cette «cargaison», soit autorisée à circuler librement, en violation flagrante des directives du Ministre des transports? Comment peut avoir autant de mépris pour la vie humaine? Ceux qui se prêtent à cette farce dangereuse poursuivent quels objectifs?

10.
Les défenseurs et autres hagiographes du fameux fonctionnaire et sultan du cacao, qui comme par hasard, sont tous des supporters du régime de Yaoundé, n'ont jamais digéré les dénonciations pourtant légitimes du train de vie fastueux et surtout injustifiable, au regard des revenus déclarés de leur protégé. Ils ne rêvent que de prendre leur revanche. C'est ainsi qu'ils montent de toutes pièces et non sans peine des affaires pitoyables par leur légèreté et leur inconsistance. Voilà pourquoi ils ont pris Kamto qui doit leur donner des insomnies, pour leur souffre douleur. L'épouse de l'opposant n'échappe pas à cette véritable cabale.
C'est dans le même état d'esprit qu'on a vu certains, frappés de cécité devant les dérives tribalistes du régime corrompu de Yaoundé, se réveiller subitement et pousser des cris d'orfraie devant ce qu'ils considèrent comme tribalisme à DOVV. Lamentable, minable! Ces tentatives vaines pour détourner l'attention ne trompent personne!.
Selon vous qui est le modèle le plus achevé du fonctionnaire corrompu, incompétent et parasite mais qui s'accroche désespérément ?
9.
L'administration publique camerounaise n'est pas la proprieté privée de M. Biya, bon sang!
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Ceux qui veulent monter en épingle la promotion de Mme Kamto sont soit de parfaits ignorants, soit de mauvaise foi. L'administration n'est pas la propriété de M. Biya. L'État n'est pas le régime. Halte à la confusion! On peut et on doit servir le premier sans nécessairement soutenir le second! Les fonctionnaires ne sont pas les militants du R! Il faut faire la différence entre les postes purement techniques et les postes politiques. Ceux qui veulent entretenir cette confusion jouent le jeu du régime, qui a toujours utilisé les nominations pour recruter des cadres sans véritable consistance, malmenés et affamés par un mauvais traitement salarial. Et dans le cas d'espèce, je ne pense pas sérieusement Mme Kamto soit une nécessiteuse qui aurait besoin de vendre sa conscience pour quelques petits avantages. Ceux qui sont malveillants sont allés jusqu'à lui prêter une image! Kamto fait vraiment peur! Et cette nomination était un piège, un cadeau empoisonné que des esprits mal intentionnés veulent utiliser pour discréditer l'opposant. Mme Kamto est sur la première image. La deuxième est Mme Amougou, maire à Yaoundé.

8.
Déjà 3 gendarmes tués dans le Nord-ouest. Que vont dire ces francophones tout juste soucieux de se donner bonne conscience et devenus pour cela plus royalistes que le Roi, et qui s'évertuaient à trouver des justifications aussi saugrenues les unes que les autres, aux dérives des sécessionnistes? Quand les séparatistes ont brûlé les drapeaux, ils ont expliqué que c'était moins grave que de détourner les fonds, comme si on pouvait soigner un mal par un autre mal. Quand ils se sont mis à brûler les écoles, on nous a dit que les pyromanes étaient du côté du gouvernement comme si ces extrémistes étaient des enfants de choeur. Maintenant que les gendarmes sont tués, que vont-ils dire? Faut-il rappeler que ceux qui promettaient de déclarer l'indépendance ont un gouvernement et une armée, laquelle revendique les actes de violence perpétrés? Refuser de condamner la volonté injustifiable de partitionner le pays, c'est cautionner une mascarade et une filouterie destinée à flatter les égos surdimensionnés de quelques individus. Cela dit, les violences et les meurtres de personnes doivent être flétries, d'où qu'ils viennent.
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07.
LE CALVAIRE DES VOYAGEURS. Depuis la mesure de suspension de l'agence Général Voyages, les passagers souffrent, et c'est peu dire. Les prix ont grimpé, passant parfois du simple au double, les conditions du voyage se sont sérieusement dégradées, avec des chargeurs arrogants des agences concurrentes qui tiennent ainsi l'occasion de se venger en se faisant de l'argent. L'insuffisance de l'offre en transport interurbain est ainsi mise en évidence, et les passagers qui tiennent à voyager consentent malgré eux, à le faire dans de très mauvaises conditions. C'est ainsi que le peu de bus et de cars disponibles sont bondés, surchargés, avec les couloirs et escaliers d'accès occupés. Prions Dieu pour que d'autres accidents causés par ces conditions surréalistes ne surviennent pas. Et la suspension est censée durer trois mois, c'est-à-dire novembre 2017, décembre 2017, janvier 2018. C'est la période des funérailles à l'Ouest, des réunions familiales et des fêtes de fin d'année. Cette mesure va donc pénaliser nombreuses familles qui ne demandent qu'à se retrouver à l'occasion de ces événements. L'impact économique et social d'une telle mesure sur une telle durée a-t-il été bien considéré? C'est bien de suspendre, mais pour quelle alternative? Quel est le sort de ces milliers voyageurs en déplacement les week-end de cette période? Mais à qui le disons-nous, ces messieurs ont leurs grosses cylindrées et n'ont pas la moindre idée de l'inconfort et du supplice des usagers.
Mon opinion sur la sortie du Laakam. Tous les camerounais souffrent de la mal gouvernance. Et le fait quelques fils du Centre-Sud-Est occupent des postes importants dans l'administration ne signifie pas que cette culturelle dans son ensemble est mieux traitée que les autres. Revendiquer sa part ou la part de son ethnie, sans remettre en cause l'ordre établi fondé sur l'injustice, le favoritisme, le népotisme et le clientélisme ne mènera à rien de bon. Si on se contente d'agir sur les conséquences en ignorant les causes, le problème va perdurer.

06.
Voilà le travail d'un sous-préfet. Il veut obliger tous les fonctionnaires à célébrer l'accession au pouvoir de M. Biya, alors que c'est un événement partisan. Ils interdisent les marches et manifestations pacifiques des autres partis, tout en obligeant tous les camerounais à participer à celles du R. Ils se départissent de leur neutralité et détournent les ressources de l'État, qu'ils mettent au service du régime. L'Histoire vous rattrapera!

Les administrateurs récemment nommés sont en tournée dans les différents villages de leurs circonscriptions respectives. On peut se demander ce qui les fait courir. Dans les associations des ressortissants de ces villages, c'est une grande mobilisation, qui confine parfois à la concurrence ; c'est à qui donnera la meilleure image possible au Chef de terre. Il faut lui réserver un accueil exceptionnel. Pourquoi cette effervescence? On m'explique que ces messieurs et dames sont dotés d'une grande capacité de nuisance. C'est tout ce qu'ils savent bien faire. Il ne faut surtout pas badiner avec leur «argent de carburant» et leurs cadeaux. Et l'élite locale doit militer activement dans le R, pour lequel ils sont mission, sinon gare! Les doléances faites gentiment à cette occasion sont transmises à la hiérarchie et restent généralement sans suite favorable, puisqu'il faudra aller à Yaoundé «négocier» les BIP. Les sommes mobilisées à l'occasion de ces tournées pourraient servir à financer des projets de développement dans les localités visitées, mais ils d'autres objectifs. Ils se conduisent comme des coloniaux pour avoir été formés à cette tristement célèbre école, qu'il faut décidément fermer, pour notre plus grand bien.
Cameroun : un pays riche pris en otage et appauvri par une bande de prédateurs et de rapaces insatiables.
06 novembre : jour de deuil national au Cameroun.
05
Ce 03 novembre 2017, cela a fait 57 ans que le Dr Felix Roland Moumie, Président de l'UPC, a été lâchement assassiné à Genève par le français William Bechtel, agent du Service de Documentation Extérieure et de Contre Espionnage (SDECE). Que venait chercher ce pays dans les affaires d'un pays qui selon Ahidjo était libre et indépendant depuis le 1er janvier 1960?

3/11/60-3/11/17: Remember Dr Félix Roland Moumie assassiné par un agent de la SDECE, les services secrets français.
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01
Les inquiétudes sont des prophéties auto réalisatrices pour ceux qui les ressentent. Les émotions non contrôlées constituent un sérieux obstacle à l’intelligence. Reconnaitre ses émotions négatives (peur, inquiétude, tristesse) et s’affranchir de leur emprise, c’est faire preuve de compétence émotionnelle, et c’est l’aptitude maîtresse. Celui qui se laisse noyer dans ces émotions négatives finit désespéré, découragé, démoralisé. L’espoir est l’antidote qui rend supportables les misères de la vie. L’espoir va au-delà de l’idée que les choses vont s’améliorer, c’est la croyance que nous avons la volonté et les moyens d’atteindre nos objectifs quels qu’ils puissent être. L’optimisme procure de la motivation. L’optimiste s’attend fortement à ce que les choses s’améliorent en dépit des déconvenues. 
Extrait de ma note de lecture de l'ouvrage Emotional Intelligence de Daniel Goleman
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