mercredi 11 juin 2014

La transformation spontanée des croyances : déconstruire le paradigme des fausses limitations.



Note de lecture de l’ouvrage:  The spontaneous healing of belief : shattering the paradigm of false limits” by Gregg Braden. Traduction libre : La transformation spontanée des croyances : déconstruire le paradigme des fausses limitations.
La première édition de ce livre de 236 pages a été publiée en avril 2008. Il comprend une introduction et 7 chapitres ; la dédicace de l’ouvrage mérite d’être citée intégralement :  « à l’instant de notre première respiration, nous sommes infusés de l’unique plus grande force de l’univers : le pouvoir de traduire les possibilités de notre esprit en réalité concrète ; le réveil total de ce pouvoir nécessite néanmoins un changement subtil dans notre façon de nous concevoir nous-mêmes dans la vie, un changement de croyances ; de la même manière que le son crée des ondes visibles quand il se déplace à travers une gouttelette d’eau, nos ondes de croyances traversent la structure quantique de l’univers pour devenir nos corps et la guérison, l’abondance et la paix ou au contraire la maladie, le manque et la souffrance que nous vivons ; de la même manière que nous pouvons ajuster le son afin de changer ses motifs, nous pouvons ajuster nos croyances pour préserver ou détruire ce que nous est très cher, y compris la vie elle-même. Dans un monde malléable où tout, des atomes aux cellules changent pour s’adapter à nos croyances, nous ne sommes limités que par l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes dans ce monde. Cet ouvrage est dédié à la reconnaissance de ce prodigieux pouvoir, et notre prise de conscience que nous ne sommes jamais qu’à une croyance d’une existence de miracles. »
Voilà qui donne le ton de l’ouvrage. L’observateur a une influence sur l’expérience observée ; ceci donne-t-il une idée de notre réalité ? Cela nous indique-t-il qui nous sommes dans cette réalité ? Il est impossible d’observer une expérience ou tout autre phénomène sans l’influencer ; qu’il s’agisse du comportement d’une particule, de notre carrière, de la guérison de notre organisme, nous avons des idées préconçues et des attentes ; nous vivons dans une réalité interactive dans laquelle nous changeons le monde autour de nous en changeant ce qui se passe en nous, pendant que nous observons, c’est-à-dire nos pensées, nos sensations, nos croyances. Conséquences : de la guérison des maladies à la durée de la vie en passant par le succès de nos carrières et des relations humaines, bref, toute notre vie est directement liée à ce que nous croyons ; donc pour changer note vie (guérison de maladies, amélioration de nos relations, etc), il faut changer nos croyances. Cette idée de passer du rôle de victime à celui d’acteur fait perdre sa netteté à la barrière qui sépare le scientifique du spirituel.
Contrairement à ce que les scientifiques ont pensé depuis ces 300 dernières années, l’espace entre les objets physiques n’est pas fait de vide ; il existe un champ d’énergie intelligente dans cet espace, et ce champ réagit à nos croyances les plus profondes ; c’est une véritable révolution qui nous donne un rôle central, dans la mesure où c’est nous qui choisissons nos croyances, dont nos conditions de vie actuelles sont le reflet. Et l’auteur de nous révéler les faits scientifiques établis entre 1990 et 2000 sur lesquels il se fonde ; notre univers, le monde, notre organisme tout ce qui existe fait partie d’un champ d’énergie reconnu scientifiquement au XXème siècle et que l’on appelle tantôt le champ, l’hologramme quantique, la divine matrice, l’esprit de Dieu, l’esprit de la nature ; dans ce champ, les objets qui étaient initialement liés, demeurent connectés, même après leur séparation physique grâce à un phénomène appelé « entanglement » ; l’ADN humain influence directement ce qui se passe dans la divine matrice d’une manière qui semble défier les lois du temps et de l’espace ; la croyance humaine (avec les sensations et les émotions qui l’accompagnent) modifient l’ADN, qui à son tour influence la divine matrice ; quand nous changeons nos croyances au sujet de notre corps, et notre monde, la divine matrice traduit ce changement dans la réalité de nos vies. C’est une révolution où l’espèce humaine est ramenée dans les équations de l’univers, d’où les lois de Newton l’avaient exclue.
 Le pouvoir de choisir est le pouvoir de changer ; le but de l’ouvrage est de nous faire découvrir comment changer les fausses croyances, identifier les croyances qui font reculer la maladie, prendre connaissance de celles qui créent des relations durables et satisfaisantes, découvrir celles qui apportent la paix dans notre vie, notre famille, et dans le monde. L’auteur précise qu’il a voulu partager un message d’espoir et de possibilités dans un contexte où les gens sont conduits à se croire impuissants et désespérés.
Notre monde (nos conditions de vie, nos expériences, notre vécu quotidien) n’est que le reflet des croyances que nous acons acceptées, et en reconnaissant ceci la science rejoint nos traditions indigènes et spirituelles les plus chères. Si les croyances sont donc si déterminantes pour nous, comment se forment-elles ? D’où viennent-elles ? Elles se forment à partir de ce que la science, l’histoire, la religion, la culture et la famille nous dit ; ce que nous considérons d’une part comme nos possibilités et d’autre part comme nos limites provient de ce que les autres nous disent. Et que se passe-t-il si ces croyances sont fausses ? Généralement nos limites supposées sont bien en deçà de nos possibilités réelles ; nous avons toujours cru être des êtres impuissants et passifs, condamnés à subir les évènements sans aucune influence possible sur ceux-ci, nous apprenons maintenant qu’il n’en est rien ; ce livre nous montre que chacun de nous est dépositaire d’un pouvoir immense, qui nous rend capables de contrôler les évènements de notre vie, et que la science ne fait que confirmer ce que des traditions spirituelles anciennes et millénaires savaient déjà. Nous pouvons stopper, et même guérir la maladie et même modifier la durée de notre vie, nous pouvons choisir la paix, plutôt que la guerre dans le monde, nous pouvons choisir l’abondance plutôt qu’une vie faite de manque et de limitations, et l’auteur nous explique comment procéder dans cet ouvrage. Miraculeux, n’est-ce pas ? Certains esprits imbus des croyances reçues vous diront que c’est impossible ; mais l’auteur dit s’appuyer sur les découvertes récentes de la science, et sur les connaissances des traditions religieuses et spirituelles anciennes.
L’auteur nous parle d’un yogi appelé Milarepa qui a vécu au XII ème siècle, et qui posé des actes absolument incroyables ; ces actes nous donnent une idée de ce peut faire un être humain qui décide d’exploiter son potentiel ; en effet il a réussi, entre autres, à passer sa main à travers la roche comme si celle-ci n’existait pas et y a laissé une emprunte profonde encore visible aujourd’hui, après 900 ans ! Comment réconcilier cet authentique exploit avec nos croyances actuelles apparemment confirmées par l’expérience ? La roche est dure et ne peut se laisser traverser par la chaire ; l’univers et ce qu’il contient est ce qu’il est en raison de la puissance de la conscience elle-même : nos croyances et ce que nous acceptons comme la réalité. Les découvertes scientifiques de ces 150 dernières années montrent qu’il y a bien une corrélation entre la conscience, la réalité et nos croyances.
« Il y a des choses que nous savons que nous savons, des choses que nous savons que nous ne savons pas, et d’autres que nous ne savons pas que nous ne savons pas », propos tenus en juin 2002 au quartier général de l’OTAN en Belgique par Donald Rumsfeld ci-devant secrétaire d’État américain à la défense. On comprend qu’à l’état actuel, l’approche scientifique accuse encore des insuffisances et il reste encore beaucoup de phénomènes inexpliqués ; la science a certes beaucoup évolué ces deux derniers siècles ; on est passé par exemple en physique des lois de Newton à la mécanique quantique, mais l’unification des quatre forces fondamentales de la nature (force gravitationnelle, force électromagnétique, force forte, force faible) en une théorie des champs unifiée demeure un défi, même si la théorie des supercordes peut constituer une piste de solution. En parlant d’évolution, les découvertes récentes remettent plutôt en question les hypothèses initiales en nous forçant à reconsidérer l’idée même qu’on se faisait de la matière. Au lieu de considérer l’univers comme étant constitué d’objets séparés et sans influence les uns sur les autres, les théories quantiques affirment que l’univers et nos organismes sont faits de champs d’énergie en perpétuel changement, qui interagissent les uns sur les autres d’une manière qui nous fait parler de possibilités plutôt que de certitudes. On évolue du déterminisme classique (modèle boules de billard de l’univers où l’on peut prévoir avec exactitude le comportement futur d’un projectile, quand on connaît ses paramètres et ses contraintes) à l’incertitude et la probabilité quantique. L’énergie quantique peut se présenter sous la forme d’une particule visible ou d’une onde invisible ; une même particule quantique peut être à deux ou plusieurs endroits à la fois, et ce qui est intéressant, c’est que de ces différentes positions la particule reste connectée quelle que soit la distance qui sépare ces positions ; pour ces particules quantiques, il n’y a pas de présent, de passé ou de futur : là-bas et ici, maintenant et après, c’est la même chose. Si ces particules quantiques dont nous sommes constitués peuvent ainsi échapper aux lois de la physique, qu’en est-il de nous ? Pouvons-nous réaliser de telles prouesses ? En s’appuyant sur d’authentiques exploits réalisés par des êtres humains ordinaires, l’auteur répond oui à cette question. La preuve scientifique de l’existence du champ déjà évoqué par Marx Planck, appelé divine matrice est le lien manquant entre les expériences spirituelles de croyances, d’imagination et de prière et les miracles qui se produisent dans notre monde.
Et si l’univers était un ordinateur de conscience « consciousness computer » et son évolution, le déroulement d’une programmation initiale ? Et ce que nous considérons comme une réalité une simulation virtuelle ? Si nous connaissons les codes de ce programme, nous connaissons également les règles de la réalité. L’univers est un ordinateur quantique. Tandis que l’ordinateur fonctionne avec les bits qui peuvent être 1 ou 0, l’univers fonctionne avec les atomes qui peuvent être (matière) ou ne pas être (onde). Si on considère l’univers comme un ordinateur, alors qui est l’auteur de son système d’exploitation ? Pour mieux se représenter l’univers, on recourt à la géométrie fractale.
L’une des preuves que nos croyances peuvent affecter notre organisme est l’effet placebo ; on a pu guérir des maladies graves avec de l’eau distillée salée ou à laquelle on avait ajouté un simple colorant, ou avec une opération chirurgicale au cours de laquelle aucune modification n’a été apportée à l’organisme ! Il suffit que le malade soit convaincu qu’il a reçu un traitement efficace, un traitement qui va le guérir, alors il guérit, alors que le médicament qu’il a pris n’a aucun principe actif. Autant la conviction intime qu’on va guérir nous fait guérir effectivement, autant la conviction qu’on va tomber malade va nous rendre malade ; le contraire de l’effet placebo, c’est l’effet nocebo, nous tombons malades si un médecin en qui nous avons confiance nous dit que la substance inoffensive que venons de consommer  va nous rendre malade ; cela peut être la conviction du malade que le traitement qu’il prend ne sera pas efficace, ou que cela peut avoir des effets secondaires nocifs. Les attentes de l’observateur influent sur les résultats de l’expérience observée ou mieux, l’expérience se déroule de façon à produire les résultats attendus par l’observateur. Quelles sont les convictions que nous entretenons au sujet de notre corps ? Elles ont une influence indéniable sur notre qualité de vie et sur la guérison de maladies. Nos croyances ne modifient pas seulement notre organisme, elles agissent également sur le monde ! Et pour libérer le pouvoir de nos croyances, pour pouvoir observer les effets de nos croyances, nous devons croire en nos croyances, reconnaître leur capacité à influer sur le cours des évènements. Pour cela il faut faire la différence entre la foi, la croyance et la science. Quelle est la différence entre la croyance et la foi ? La croyance est l’acceptation qui provient de ce que nous considérons comme vrai dans notre esprit, ajoutée à ce que nous ressentons comme vrai dans notre cœur. La croyance est un langage, et pas n’importe lequel ! Il permet de communiquer avec la matière quantique qui constitue notre corps et le monde ; la croyance est une expérience personnelle, c’est notre acceptation de ce que nous avons vécu et expérimenté nous même ; la croyance, c’est le pouvoir personnel ; le pouvoir de transformer tout ce que nous voulons réside dans nos croyances ; à travers nos croyances, nous avons le don de la seule plus puissante force de l’univers : la capacité de changer notre vie, notre corps et le monde. Pour mieux saisir le pouvoir des croyances, il faudrait connaître comment elles se forment et où elles résident dans le corps. L’irruption de la mécanique quantique a eu des répercussions en mathématiques, en physique et en chimie, mais pas encore en biologie, qui a continué avec la vision erronée de l’univers comme entité composée d’objets séparés, en ignorant l’existence du champ d’énergie appelé la divine matrice, et la connexion entre tous les objets ; quand nous formons des croyances centrées sur le cœur dans notre corps, nous créons leur expression électrique et magnétique comme des ondes d’énergie qui ne restent ni confinées dans nos cœurs, ni limitées par la barrière que constitue notre peau ; les pensées accompagnées d’émotion créent des sensations basées au cœur, et des croyances. Le pouvoir des croyances basées au cœur trouvent leur fondement dans les effets Zeeman et Stark (influences respectives des champs magnétique et électrique sur l’atome). Il faut faire la différence entre les sensations (feelings) et les émotions (emotions). Ce sont les pensées accompagnées de sensations qui sont efficaces ; c’est la prière  accompagnée de sensations qui produit des résultats ; c’est le genre de prière dont parle le Seigneur dans Jean 16 : 24. Prier avec la certitude que nous avons déjà obtenu ce que nous demandons ; il s’agit de dominer le doute qui nous habite souvent. Quelles relations y a-t-il entre nos pensées, nos sensations et nos émotions ? Les pensées chargées d’émotions créent des sensations basées au cœur et des croyances dans notre corps. Il y a deux émotions principales : l’amour et la peur ; la colère, la gratitude, la compassion, la jalousie, la paix sont des sensations, et ce sont ces sensations qui ont le pouvoir transformer les réalités. On peut écrire l’équation pensées + émotions (amour ou peur) = sensations ; les sensations se manifestent de manière parfois inconsciente, quand nous entrons en résonance ou non avec certaines expériences ou certaines situations ; en effet, nous sommes des êtres ayant la capacité d’ajuster nos corps et de partager certaines formes d’énergie ; quand nous entrons en résonance avec l’expérience vécue, nous la trouvons vraie. Penser d’avance à un évènement présente un avantage ; cela permet d’envisager tous les aspects possibles et de savoir déjà si nous sommes en résonance ou non avec la situation prévue en général. Les souhaits sont des pensées sans émotions ; ce sont généralement des vœux pieux. Pour être effectives, les affirmations doivent être accompagnées du pouvoir de notre amour, comme si la situation désirée était déjà réelle. Sans les émotions, les affirmations sont des pensées vides, ou des souhaits. Il faut passer des pensées, des souhaits aux croyances (la certitude qui provient de l’acceptation ce que nous considérons comme vrai, ajouté à ce que nous sentons vrai dans notre corps) pour produire des résultats ; les prières exaucées sont les pensées et les affirmations qui sont accompagnées d’émotions ; il s’agit d’éprouver en y pensant, les sensations que l’on éprouverait si la situation désirée était déjà arrivée. L’amour ou la peur sont les émotions qui permettent de transformer nos pensées en réalités. Nos croyances sont les programmes de notre conscience, et comme nous pouvons choisir ces croyances, nous sommes les programmateurs, nous sommes les architectes de nos vies, nous ne sommes plus des victimes d’évènements que nous ne contrôlons pas.
Notre esprit est constitué de deux parties : la partie consciente et le subconscient ; pendant que la partie consciente est le siège du raisonnement qui nous permet de réagir aux différents stimuli, le subconscient ne raisonne pas, il enregistre toutes nos expériences, c’est le siège de nos croyances, de nos programmes ; il est plus important et plus rapide que la partie consciente ; le subconscient ne distingue pas ce qui est imaginé de ce qui est réel ; c’est ce subconscient qui transforme nos croyances en réalités. Nos conditions de vie actuelle, notre situation, nos expériences sont le reflet des croyances ou des programmes implantés dans notre subconscient.
L’auteur donne deux exemples de l’influence de nos croyances sur la durée de notre vie ; dans le premier concerné ayant su que son père et son grand père étaient décédés à 75 ans était convaincu qu’il ne pouvait pas aller bien au-delà de cette limite, et c’est ce qui s’est passé ; il est mort à l’âge de 76 ans ; dans le second cas avec des ascendants morts à 35 ans, le sujet a pu créer une croyance qui lui permis de dépasser cet âge qui semblait être une limite. Pour mener une vie longue, bien remplie et en bonne santé, il faut transformer les croyances limitantes qui sont au centre de nos blessures les plus profondes. Et l’auteur de poser la grande question au centre de nos vies, car il explique que la réponse à cette question constitue la croyance qui nous guide de manière inconsciente. La question est la suivante : croyez-vous qu’il y ait une seule origine pour tout ce qui arrive dans ce monde, ou croyez-vous en l’existence de deux forces opposées (le bien et la mal), l’une nous aimant et l’autre ne nous aimant pas ?
Comme exemple de ce que peut produire la détermination à réussir là où personne d’autre l’avait fait avant, combinée à la conviction qu’elle serait la première à le faire, l’auteur cite l’exemple de Amanda Dennison, une canadienne de l’Alberta qui, en 2005 a battu le record de la plus longue marche homologuée pieds nus sur des charbons ardents : plus précisément, elle a parcouru environ 65 mètres sur des charbons dont la température dépassait 900°, et cela sans la moindre égratignure. Pour mémoire la température d’ébullition de l’eau est 100°. Selon nos croyances habituelles, il nous est impossible de marcher ne serait-ce que un mètre sur le feu sans se faire brûler gravement. Certains disent que c’est de la magie. La science n’a pas encore trouvé d’explication rationnelle à ce record. Pourtant c’est un exploit à la portée de chacun de nous. Anthony Robbins organise régulièrement des séminaires où il apprend aux participants, communs des mortels comme chacun de nous, à développer l’état d’esprit nécessaire pour y parvenir. De la même manière on peut cultiver et développer l’état d’esprit nécessaire pour guérir d’une maladie dite incurable (on a vu des tumeurs cancéreuses disparaître littéralement, des estropiés qui retrouvent l’usage de leurs membres), pour sortir de situations apparemment inextricables, pour mener une longue vie en bonne santé, dans l’abondance matérielle, faite de rapports harmonieux et enrichissants, etc. Ce ne sont pas des extra terrestres qui y parviennent. Ou alors il faut déconstruire la fausse croyance qu’il faut recourir aux pratiques mystiques, magiques, occultes, ésotériques, ou à la sorcellerie pour y parvenir ! Ceux qui parviennent à construire des immeubles de plusieurs étages, qui s’achètent des Lamborghini et autres Hummer, à bâtir des fortunes colossales comme Crésus, Bill Gates, Donald Trump, Rockefeller, Aliko Dangoté, Warren Buffet, la famille Bettencourt, Michael Bloomberg, Larry Page et Sergey Brin de Google, Mark Zuckerberg de Facebook et bien d’autres n’ont pas de cornes sur la tête ; ce sont des êtres humains qui ont su réaliser leurs potentiels à des niveaux très élevés
Si nous voulons changer nos performances et nos résultats, nous devons changer, c’est-à-dire entretenir de nouvelles pensées chargées d’émotions.
Il existe deux voies pour transformer nos croyances : par la logique ou par les miracles ; pour changer les croyances par la logique, nous devons nous convaincre de l’existence de nouvelles possibilités par des faits indiscutables qui conduisent à une conclusion incontournable. Par la voie des miracles, qui sont des évènements inexplicables par les lois de la nature, nous adoptons de nouvelles croyances quand nous sommes témoins ou prenons connaissances des faits réels et concrets qui échappent à l’explication rationnelle, comme par exemple ceux évoqués dans l’ouvrage.
Le manuel d’utilisateur de la réalité est la réalité elle-même ; dans les mots de la prière dominicale se trouvent le grand secret pour programmer notre univers, et c’est caché en pleine vue.
En fin de compte, que retenir de ce livre ? Nous détenons le pouvoir prodigieux de changer nos réalités en changeant nos croyances. Il est tout à fait possible de dépasser nos limites passées, et de réaliser des prouesses comme celles évoquées dans cette note de lecture ; oui, une autre vie faite de possibilités de liberté est possible.

vendredi 30 mai 2014

Le voisin millionnaire : les secrets surprenants des riches américains



Compte rendu de lecture du livre « the millionaire next door : the surprising secrets of the america’s wealthy » Le voisin millionnaire : les secrets surprenants des riches américains de Thomas J. Stanley et William D. Danko.
Cet ouvrage est une étude portant sur les millionnaires américains qui, en 1996, représentaient 3,5% de la population du pays de l’Oncle Sam. Ce pourcentage faible montre que c’est effectivement une élite qui arrive à être millionnaire. Être millionnaire en Amérique, c’est posséder une fortune évaluée à au moins un million de dollars ; en F CFA cela vaut au moins 450 millions F CFA, si on estime que un dollar vaut 450 F CFA. Celui possède 10 millions de dollars pèse 4 milliards cinq cents millions F CFA. Que dire alors des Bill Gates, Warren Buffett et autres Aliko Dangote qui trônent sur des fortunes évaluées en dizaines de milliards de dollars ? Cela donne le tournis. En tout cas ce sont des extra terrestres.  
Comment devient-on millionnaire ? Les auteurs expliquent et insistent tout au long du livre que pour y arriver il faut être économe, frugal jusqu’à l’avarice ; il faut se fixer pour objectif de se constituer une fortune, planifier ses dépenses, en tout cas il faut dépenser moins qu’on ne gagne ; cela passe par l’élaboration d’un budget annuel, puis mensuel ; il est vital de contrôler ses dépenses, éviter autant que possible des dépenses imprévues. les millionnaires sont discrets évitent par tous les moyens un style de vie flamboyant et dépensier ; ils sont financièrement indépendants ; ils peuvent maintenir leur style de vie actuel sans plus travailler grâce à la fortune qu’ils ont accumulée ; les maisons, les quartiers où ils habitent, leurs véhicules, les montres qu’ils achètent, les vins qu’ils boivent ne sont pas nécessairement ceux que certains imaginent ; à la question de savoir si les millionnaires ont besoin de budgétiser leurs dépenses, l’auteur répond que c’est précisément pour avoir su budgétiser qu’ils sont devenus millionnaires. Ceux qui font du jogging semblent ne pas en avoir besoin, et pourtant ce sont ceux-là qui tiennent à le faire régulièrement.  Ceux qui font les gros titres de la presse pour leurs dépenses somptuaires n’accumulent pas de richesses. Et les auteurs nous donnent beaucoup d’exemples de personnes ayant de revenus conséquents et respectables, mais qui ne seront jamais millionnaires parce qu’ils sont dépensiers et vivent au dessus de leurs moyens. Ils citent deux catégories de personnes dans son ouvrage, les accumulateurs prodigieux de richesses (PAW) et les sous accumulateurs de richesses (UAW). À revenu égal, deux personnes considérées n’ont pas nécessairement le même sort. Tout dépend du style de vie, de la vision, des objectifs poursuivis, de l’orientation que chacun donne à sa vie.
Les auteurs ont dégagé 7 facteurs communs aux riches :
1. Ils vivent bien en deçà de leurs moyens ; ils dépensent beaucoup moins qu’ils ne gagnent.
2. Ils gèrent leur temps, leurs énergies, et leur argent d’une manière efficiente et propice à l’accumulation des richesses.
3. Ils sont convaincus que l’indépendance financière est plus importante  qu’un train de vie dispendieux, que l’étalage de richesses ;
4. Ils n’étaient pas financièrement couvés par leurs parents riches ;  c’est formellement déconseillé d’apporter une assistance financière régulière aux enfants adultes.
5. Leurs enfants adultes sont financièrement auto suffisants.
6. Ils sont efficaces quand il s’agit de dénicher les opportunités d’affaires.
7. Ils choisissent la bonne profession ou la bonne entreprise.
Bâtir  une fortune est exigeant ; cela demande discipline, le sens du sacrifice, de l’ardeur au travail.
La richesse, c’est rarement une question de chance, d’héritage, de diplômes élevés, ou d’intelligence, c’est plutôt le résultat d’un style de vie fait d’ardeur au travail, de persévérance, de planification et surtout de l’auto discipline.
Ce ne sont pas des revenus élevés qui font des riches ; autrement dit, être riche ne signifie pas avoir des hauts revenus ; on peut avoir un gros salaire sans être incapable de survivre un seul sans ce salaire. Celui qui s’impose la discipline d’économiser systématiquement une partie de son revenu deviendra riche.  
Le prototype du millionnaire se présente comme suit :
C’est un quinquagénaire proche de la soixantaine ; dans l’ensemble 1 sur 5 est retraité, et environ les deux tiers sont auto employés, trois quarts desquels se considèrent comme entrepreneurs ; environ la moitié des épouses ne travaillent pas ; chaque ménage de millionnaire possède en moyenne 3,7 millions $ ; ils vivent d’environ 7% de leur fortune ; 97% vivent dans leur propre maison ; la majorité n’a jamais reçu d’héritage ; 80% de millionnaires sont « self made » ; ils vivent bien en deçà de leurs moyens ; la majorité des épouses contrôlent les dépenses en planifiant et en budgétisant ; ils peuvent vivre plus de 10 ans sans travailler grâce à la fortune accumulée en épargnant au moins 15% de leurs gains ; leur fortune vaut plus de six fois celle de leur voisins non millionnaires pourtant plus nombreux et qui mènent grand train ; un assez bon niveau d’éducation dans l’ensemble : 1 sur 5 n’est pas diplômé de faculté, beaucoup ont la licence ; en plus faible pourcentage, on compte des titulaires de masters, de doctorats ; ils pensent qu’une bonne éducation est primordiale pour leurs enfants et leurs petits enfants, donc ils ne lésinent pas sur les moyens ; ils travaillent environ 45 à 55 heures par semaine ; ils sont des investisseurs méticuleux, et la plupart investissent au moins 15% de leurs revenus ; ils investissent dans les titres et valeurs boursières (actions, obligations) ; ils pensent que leurs enfants de sexe féminin sont désavantagées puisque pour le même travail, elles sont moins bien payées que les hommes ; c’est pourquoi ils n’hésitent pas à corriger cette injustice en accordant des appuis financiers à leurs enfants filles et en les favorisant dans le partage de l’héritage ; le pourcentage de millionnaires étant en augmentation, leurs enfants sont orientés vers les professions qui offrent des biens et services aux millionnaires, comme par exemple, les comptables, les avocats, les notaires, les conseils fiscaux ; ils sont radins et avares.
La richesse n’est pas seulement basée sur les possessions matérielles d’un personne, elle tient surtout compte de l’actif et du passif ; un actif est tout ce qui fait gagner de l’argent, tout ce qui est productif ; ce sont par exemple les actions dans les entreprises ; un passif est ce qui fait dépenser ; les maisons, les véhicules, quand ceux-ci ne font pas partie de l’entreprise ; l’argent économisé doit être investi dans des actifs ; c’est l’importance des actifs qui fait la richesse, et à contrario, celui dont le passif est important (beaucoup de factures à régler, des dettes à rembourser, etc.) est pauvre ; le passif absorbe le revenu, et quand il est important, pour ceux qui veulent afficher un train de vie conforme à leur statut, on se retrouve dans les dettes de consommation surtout.
Beaucoup sont devenus millionnaires alors que leurs parents ne l’étaient pas ; par contre, les descendants des millionnaires n’en sont pas nécessairement ; ils doivent adopter le style de vie des parents qui peuvent soit les encourager soit les en dissuader sans en être conscients ; le parent qui cède à tous les caprices de sont enfant, l’enfonce plutôt ; les enfants adultes qui reçoivent régulièrement des cadeaux en espèce, ne deviennent pas millionnaires, ce sont même parfois ces enfants qui reçoivent le plus gros de l’héritage de leurs parents ;
Les couples des millionnaires sont stables, ils passent 30, voire 40 ans ensemble et ne sont séparés que par la mort ; bien souvent la mère est une femme au foyer, ce qui suggère aux enfants filles qu’elles ne doivent pas travailler, mais il y a des exceptions.
Comment donc font ceux dont les enfants sont indépendants d’esprit, productifs, entreprenants, et qui peuvent aussi devenir par eux-mêmes des millionnaires ?
1.     Ils ne disent jamais à leurs enfants qu’ils sont millionnaires ;
2.     Ils apprennent à leurs enfants à être disciplinés et économes :
3.     S’assurer que les enfants ne sauront pas que les parents sont riches, avant qu’ils ne deviennent des adultes responsables, disciplinés, indépendants et exerçant une profession :
4.     Éviter au maximum les discussions sur la part d’héritage des enfants et des petits enfants,
5.     Ne jamais utiliser l’argent ou des cadeaux importants comme moyens de pression sur les enfants ;
6.     Éviter de s’impliquer dans les affaires privés des enfants adultes mariés ; demander la permission avant de donner des conseils ; le gendre ou la bru peut avoir une conception de la vie différente de la vôtre ;
7.     Éviter de comparer votre enfant à vous en tenant par exemples des propos du genre « quand j’avais ton âge, j’avais déjà…. »
8.     Se rappeler que chaque enfant est une individualité ; chacun a sa particularité, il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils aient la même motivation ou la même ambition ;
9.     Insister sur ce que les enfants peuvent réaliser par eux-mêmes ; ils ne doivent pas avoir pour objectif de gagner pour mieux dépenser.
10.  Faire comprendre aux enfants qu’il y a des choses plus importantes que l’argent.
Les millionnaires sont pour la plupart des entrepreneurs, à la tête de leurs propres entreprises, mais il ya tout de même des salariés qui sont riches ; on les retrouve dans les professions libérales, avocats, médecins, dentistes, comptables, ingénieurs, etc.

CONSEILS AUX PARENTS ET AUX ÉLÈVES POUR MIEUX ABORDER LES EXAMENS 2014



CONSEILS AUX PARENTS ET AUX ÉLÈVES
POUR MIEUX ABORDER LES EXAMENS

LE RÔLE DES PARENTS
·       Ne pas trop solliciter les élèves en ce moment ;
·       S’assurer que le nom de l’enfant est bien sur la liste, qu’il visite le centre d’examen avant le jour J ;
·       Ne pas aller chez les marabouts ;
·       Donner suffisamment d’argent aux enfants le jour J ;
·       S’assurer qu’il a laissé le téléphone portable à la maison le jour J ;
·       S’assurer que le candidat a sa carte d’identité, son récépissé, deux bons stylos et son matériel de dessin, une montre, une bonne calculatrice ;
·       Observer l’enfant qui doit dormir suffisamment, mais pas trop ; il doit bien se reposer, bien manger ;
·       Cesser les disputes conjugales auxquelles on n’a pas pu mettre fin avant cette période ;
·       Attention à la télé !
·       Tenir des propos encourageants, motiver les enfants ;
·       Sensibiliser les candidats sur la nécessité de rester honnêtes, d’éviter la tricherie ;

AUX ÉLÈVES
1.     Aborder l’examen en toute sérénité
L’examen est une évaluation faite en fin d’année scolaire et il n’est pas possible d’interroger les élèves sur la totalité des programmes. Dans certaines épreuves on essaie d’étaler les questions sur la plus grande partie possible du programme, mais en tout état de cause l’élève qui a travaillé toute l’année scolaire et qui a obtenu une moyenne annuelle supérieure ou égale à 10/20 doit passer son examen. Il faut aussi se rappeler que l’examen n’est pas le but ultime de l’éducation nationale. C’est juste un moyen pour les autorités scolaires de s’assurer que les élèves ont acquis les compétences, les savoirs, les savoirs être, les savoirs faire indiqués dans les programmes. Le diplôme recherché n’est pas une fin, c’est un moyen. Ceux qui font du bachotage prennent l’examen pour la finalité du travail scolaire. L’élève qui s’est bien comporté pendant l’année scolaire n’a donc aucune raison d’avoir peur ; on l’interroge sur ce qu’il a appris, sur ce qu’il sait, et il suffit d’avoir au moins 10/20 de moyenne pour être admis. Dans les épreuves, il pourra répondre à la majorité des questions, et traiter une bonne partie des exercices proposés ; avec ceci à l’esprit, tout élève doit être serein et confiant.
Après s’être assuré que son nom figure sur les listes des candidats, il doit se conformer à la police des examens : arriver en salle d’examen à l’heure, se munir du matériel nécessaire, laisser son téléphone portable à la maison.

2.    Attitude dans la salle d’examen
  1. Se munir d’une bonne calculatrice, acquise au plus tard un mois avant l’examen, afin de s’y habituer, d’en maîtriser le fonctionnement.
  2. Se munir du matériel de dessin (règle, équerre, compas, crayon, gomme…).
  3. Avoir une montre pour bien gérer le temps alloué.
  4. Lire entièrement l’épreuve au début. Cela vous permet de classer les exercices                 en fonction de leur difficulté apparente, du plus facile au plus difficile, et puis commencer naturellement par le plus facile.
  5. Faire attention à la présentation de votre copie. En effet vous n’avez pas intérêt à énerver le correcteur par une copie qui ne paie pas de mine ; bien la soigner, encadrer à l’aide d’une règle les réponses littérales et numériques, quand il y en a.
  6. Le mot « exo » n’existe pas encore dans le dictionnaire ; éviter donc de l’utiliser.
  7. Ne pas oublier  d’accompagner vos réponses numériques des unités correspondantes en Physique, Chimie, SVT. Ce sont les unités qui distinguent les mathématiques des sciences physiques en général ; ce sont elles qui traduisent le caractère concret et matériel des sciences physiques, par opposition à l’abstraction des mathématiques.
  8. Si vous êtes libre de commencer par l’exercice qui vous inspire, il vous est déconseillé de traiter les questions d’un exercice choisi dans le désordre.
  9. Si l’on est  bloqué alors qu’on n’a pas achevé l’exercice traité, prévoir un espace sur lequel on pourra revenir traiter la question difficile, avant de commencer le prochain exercice.
  10. Allouer à chaque exercice une durée en fonction de l’impression que vous aura laissée la première lecture. Un exemple de découpage :


Épreuve de 2h (120mn)
Épreuve de 3h (180minutes)
Épreuve de 4h (240minutes)
Lecture intégrale de l’épreuve
15 minutes
20 minutes
30 minutes
Traitements des exercices
Environ 22 minutes par exercices (4)
35 minutes par exercices (4)
Environ 35 minutes par exercices (5)
Relecture copie entière
15 minutes
20 minutes
30 minutes

Ne pas passer à l’exercice suivant tant que vous n’avez pas épuisé le temps prévu pour l’exercice que vous traitez. Dès que vous avez épuisé le temps consacré à un exercice, passer au suivant, même si vous n’avez pas fini. Un exercice qui vous a semblé difficile à la première lecture peut s’avérer plus facile que vous ne le croyiez, et vice versa.  Cette méthode vous évitera de perdre du temps sur des exercices trop difficiles et de traiter à coup sûr ceux qui sont à votre portée.

11.     Ne jamais remettre votre copie avant d’avoir épuisé le temps qui vous est imparti. Le tableau suivant vous rappelle les durées des épreuves.

Si vous procédez comme indiqué ci-dessus, vous risquez plutôt d’être surpris par la fin de l’épreuve. Ne vous laissez  pas impressionner par ceux qui sortent vite. Bien souvent ce sont des aventuriers  et autres cancres pour qui faire l’examen est devenu une profession. Certains prétendent qu’ils ne savent pas quoi  écrire : bien souvent il arrive qu’ils soient inspirés quand  ils ont déjà remis leurs copies, c’est-à-dire quand il est trop tard. Vous ne pouvez pas passer neuf mois à préparer un examen et vous payer le luxe de sortir avant la fin d’une épreuve, sans l’avoir traitée entièrement, alors que rien ne vous y oblige.

  1. Lire attentivement chaque exercice avant de le traiter. En effet cela pourrait ressembler à un exercice que vous avez déjà traité, avec des différences.
  2. Certains exercices de physique (électrocinétique, mécanique…) nécessitent un schéma ;  le faire, même quand ce n’est pas expressément demandé.
  3. Ne pas confondre vitesse et précipitation. Il vaut mieux traiter une partie de l’épreuve avec attention, concentration et application, plutôt que la traiter entièrement, avec empressement et tout ce que cela comporte comme oublis, erreurs, ratures, …
  4. Éviter de parachuter les réponses, qu’elles soient littérales ou numériques dans les épreuves scientifiques : cela ne correspond pas à l’esprit des sciences. En effet toute réponse doit découler d’un raisonnement convaincant par sa rigueur.
  5. Apprécier la vraisemblance de la réponse trouvée. Des élèves à qui on demandait l’arête d’un cube de glace contenu dans un verre à boire, ont trouvé trois mètres comme  réponse numérique. Un peu de bon sens leur aurait évité telle absurdité.
  6. Quand c’est possible, vérifier les calculs ; s’il existe plusieurs méthodes pour parvenir au même résultat refaites le calcul par une deuxième méthode. Si cela peut se faire graphiquement, faites-le.
  7. Éviter de donner des réponses numériques sous forme de fraction, avec des racines, des logarithmes ou des exponentielles.
  8. Utiliser les notations de l’énoncé. Si c’est nécessaire d’en introduire de nouvelles, les définir.
20.  Ne pas oublier que vous ne rencontrerez jamais le correcteur de votre copie pour lui expliquer de vive voix ce que vous vouliez dire ou écrire ; exprimer donc votre idée sur votre copie avec clarté, précision et concision.      


Conseils Extraits de l’ouvrage « les secrets de la réussite scolaire : conseils aux parents et aux élèves pou un parcours scolaire couronné de succès » du Professeur Hors-Échelle de Lycées Jean-Claude TCHASSE.