Evolve your brain. The science of changing your mind. Faites
évoluer votre cerveau. L’explication scientifique de la transformation de votre
esprit par le Dr. Joe Dispenza.
Cet ouvrage de 575 pages qui a été
publié en 2007 aux Etats-Unis en anglais par les éditions Health Communications
Inc., comporte 12 chapitres. Le but de l’ouvrage est de donner l’explication
scientifique de la transformation de l’esprit et de ses conséquences pour la
santé et le bien-être.
Dans son avant-propos, Amit Goswami,
Ph D et Professeur de Physique, évoque le changement de paradigme en cours dans
le monde scientifique et qui se traduit par une inversion des rôles entre le
cerveau et la conscience. En effet initialement considérée comme un
épiphénomène du cerveau la conscience est devenue le fondement de l’être, et le
cerveau un épiphénomène. Comment amener le cerveau à bien jouer son rôle tel
que défini par le nouveau paradigme ? Comment l’utiliser de façon optimale
pour attendre les objectifs de la conscience ? Telle est la question à
laquelle répond ce livre. C’est un manuel d’utilisation pour le cerveau. Parmi
les sujets importants abordés dans ce livre, il y a l’intelligence
émotionnelle, qui consiste à faire attention à nos émotions et ne plus nous
laisser malmener par celles-ci. En physique quantique, on parle d’ondes de
possibilité ; la conscience est la structure de base de la réalité et la
matière existe dans ce cadre comme possibilités quantiques. L’observation
consiste à choisir parmi ces possibilités, ce qui deviendra notre expérience,
notre vécu. C’est la concrétisation d’une possibilité quantique. Comment se
mettre en connaissance de cause dans les états de conscience qui nous
permettent de choisir dans le champ quantique des possibilités notre devenir et
non plus de le subir ?
Nos pensées provoquent des effets
physiques réels dans notre organisme ; production d’hormones, de substance
neurochimiques et d’enzymes, tempête dans le cerveau à cause d’une activité
électrique plus intense, changement du rythme cardiaque, des messages sont
envoyés à notre système immunitaire, etc. Cet ouvrage nous suggère des pistes
pour une meilleure gestion de notre environnement interne. Sur quoi
portons-nous notre attention ? Et pour quelle durée ? La réponse à
ces deux questions permet de nous situer sur le plan neurologique. Notre
attention donne vie à tout ce sur quoi elle porte et rend réel ce qui était
initialement sans importance et irréel. Ce à quoi nous pensons de façon répétée
et ce sur quoi nous focalisons notre attention, c’est ce que nous devenons
neurologiquement. Notre cerveau n’est ni statique, ni rigide, ni fixe. Nous pouvons
changer notre cerveau juste par la pensée. Quelle est cette chose qui nous
préoccupe, que nous répétons sans cesse, à laquelle nous pensons
continuellement et qui finit ainsi par se manifester ? L’auteur espère que
la lecture de ce livre nous aidera à comprendre pourquoi nous en sommes devenus
ce que nous sommes, comment nous sommes parvenus là où nous sommes, et ce qu’il
faut pour changer cet état de chose par des pensées et des actions
intentionnelles.
Evoluer, c’est s’affranchir des
habitudes génétiques malsaines et utiliser ce que nous avons appris comme une
plateforme sur laquelle nous placer pour mieux avancer.
Nous pouvons, en une vie, apprendre de nouvelles choses, nous libérer
de l’emprise de mauvaises habitudes, changer nos croyances et nos perceptions,
surmonter des situations difficiles, maîtriser des compétences, et
mystérieusement devenir des êtres différents. Nous sommes beaucoup plus
capables de modifier notre cerveau, notre comportement, notre personnalité et
finalement notre réalité, que nous ne le croyions possible.
Nous avons un docteur intérieur efficace, chargé de nous maintenir en santé,
guidé par une intelligence innée, que je serais tenté de qualifier de supérieure,
que nous devons apprendre à mettre à contribution sans le gêner par notre
éducation. Cette intelligence innée est déjà à l’œuvre sans que nous en
soyons conscients ; elle fait fonctionner tous les organes et veille au
bon déroulement de tous les processus biologiques (respiration, digestion,
etc.).
L’auteur nous parle de l’accident
grave qu’il a eu à l’âge de 23 ans et de la décision prise de ne pas subir
l’opération chirurgicale pourtant fortement recommandée par ses médecins. Il a
pu guérir sans suivre un traitement médical, faisant ainsi une expérience de
guérison spontanée qui lui a permis de mieux comprendre comment par nos pensées
nous pouvons faire agir l’esprit sur la matière. Ce livre n’aurait pas existé
s’il avait accepté de se faire opérer, et s’il n’avait pas fait de recherches
poussées sur la question.
Nos pensées affectent non seulement
notre organisme, mais aussi notre vie. Le concept de superconscience suppose le
contrôle de la matière par l’esprit et l’influence de l’esprit sur la réalité. La croyance en une
pensée fait intervenir dans notre vie une force supérieure qui fait en sorte
que ce en quoi nous croyons fermement se réalise, indépendamment des circonstances
extérieures.
Cet ouvrage ne traite pas seulement
des maux physiques, mais aborde aussi la question de la dépendance émotionnelle
qui se traduit par une vie monotone, sans relief, entre autres.
La guérison de nos blessures émotionnelles par la modification de nos réseaux
de neurones est possible. Le dogme de l’immuabilité et de la rigidité du
cerveau a longtemps prévalu dans les milieux scientifiques, ce qui a fait dire
que notre destinée était inscrite dans nos gènes. On sait désormais que le
cerveau est doué d’élasticité et de la capacité de former des circuits de
pensée et d’en créer d’autres et cela à tout âge, à tout moment.
Imaginez ces situations où vous
êtes paralysé par la peur et le doute et envahi par un sentiment d’impuissance.
Vous pouvez surmonter ces sentiments et vous sentir
sereins et en sécurité ; vous pouvez dominer vos phobies et affronter les
occasions où elles se manifestent avec calme et assurance.
Comment ce malade souffrant de
leucémie et à qui les traitants n’avaient donné que six années à vivre a-t-il
pu rester vivant plus de vingt cinq ans après ce pronostic sans aucun
traitement médical ? Il suffit de le décider.
Cet ouvrage nous invite à prendre
conscience des schémas de pensée néfastes et des émotions malsaines qui en
résultent, et dont nous sommes devenus dépendants à force de les avoir
ressassés pendant de longues années. Cela peut expliquer ces maladies physiques
et mentales dont certains souffrent et qui semblent résister à tous les
traitements administrés.
L’auteur a répertorié de nombreux
cas de guérisons spontanées, certains diraient miraculeuses de maladies
réputées incurables parce que résistant à tout traitement, que ce soit par la
médecine conventionnelle ou par la médecine alternative. Et les patients
concernés souffraient de maladies graves telles que les tumeurs cancéreuses,
l’hypertension, les troubles cardiaques, les troubles de la vue, le diabète,
les problèmes respiratoires, dentaires, de thyroïde, les rhumatismes, des
maladies génétiques rares, etc. avant leur guérison définitive. L’auteur a
appliqué la démarche scientifique pour étudier ce phénomène et nous dit que
toute personne peut l’expérimenter à condition de procéder comme ceux des cas
étudiés. Il est question d’utiliser à bon escient le pouvoir de la pensée.
L’étude de l’organisme humain, de
sa structure, de son fonctionnement et des mécanismes complexes qui s’y
déroulent sans que nous en soyons conscients, montre que chacun de nous est
doté de cette intelligence innée, l’esprit subconscient qui a un pouvoir
supérieur à celui de tout remède, traitement ou thérapie et qui n’attend que
nos directives pour nous guérir quand nous sommes malades. Notre « état d’être » est défini par nos pensées et
notre ressenti habituels. Ce à quoi nous pensons et l’intensité de nos pensées
influencent notre santé, nos choix et en définitive, la qualité de notre vie. Pour
guérir, le malade doit s’émanciper de ces schémas de pensées néfastes devenues
habituelles et en adopter de nouvelles bénéfiques et favorables.
Les pensées répétitives sont comme
des programmes d’ordinateur qui fonctionnent en arrière-plan de nos vies toute
la journée et tous les jours. Les pensées conscientes, répétées assez souvent
deviennent des programmes automatiques inconscients de pensée. S’affranchir
d’un schéma de pensée devenu inconscient nécessite prise de conscience et
effort.
Les expériences, les nouvelles
pensées et les choses apprises modifient physiquement notre cerveau ;
c’est la neuroplasticité. Le cerveau est moulable et souple à tout âge. A cette
notion, il faut ajouter la neurogenèse ; le cerveau adulte peut créer de
nouvelles cellules cérébrales et des parties endommagées du cerveau peuvent
être restaurées.
La méditation ne modifie pas
seulement la fréquence des ondes cérébrales, elle permet aussi de produire de
nouvelles cellules cérébrales. L’esprit est le cerveau en action ; il ne
saurait se réduire au cerveau.
La conscience a deux aspects :
la conscience objective qui est la force de vie, la source, le champ de point
zéro, c’est le subconscient, et la conscience subjective situé dans le
néocortex, c’est la parte consciente de l’esprit. Il est question d’unir
l’esprit conscient et l’esprit infini qui a un potentiel illimité, afin d’accéder
à un monde de nouvelles possibilités.
Le lobe frontal du cerveau est le
siège du libre arbitre, il permet de choisir chacune de nos pensées et de nos
actions et donc de contrôler notre destinée. Au terme d’une étude détaillée de
la structure du cerveau l’auteur déclare que nous disposons d’un potentiel
illimité. C’est en effet un superordinateur doté du plus puissant processeur,
du système d’exploitation le plus avancé et du plus grand disque dur. L’espèce
humaine, l’homo sapiens sapiens,
n’est vieille que de quelques centaines de milliers d’années et par conséquent ne
sait pas encore utiliser efficacement le cerveau. Les neurosciences, assez
récentes du reste, ont permis de progresser dans la connaissance de cet organe
grâce au développement de la technologie qui permet de l’observer en activité.
La théorie de la table rase
d’Aristote, selon laquelle le nouveau-né vient avec un cerveau vide est battue
en brèche. Il existe déjà des circuits neuronaux et des connections synaptiques
correspondant à la fois à l’héritage génétique de l’espèce humaine et à celui de
ses parents.
Le processus de mémorisation passe
par la mémoire sémantique ou à court terme et la mémoire épisodique ou à long
terme. Les expériences accompagnées d’émotions fortes quand les cinq sens sont
mis à contribution se gravent dans notre mémoire à long terme. C’est par
l’apprentissage et le vécu de nouvelles expériences que de nouveaux circuits
neuronaux et de nouvelles connexions synaptiques se forment et s’ajoutent à
celles dont nous avons hérité à la naissance.
Notre cerveau est un organe
complexe dont le fonctionnement n’est pas encore bien cerné malgré les progrès fulgurants
accomplis ces dernières années. Les deux hémisphères qui le constituent ont
notamment des rôles différents, et il semble que cerveau gauche, siège de la
parole et de la logique est beaucoup plus sollicité dans un monde dominé par l’approche
scientifique et la démarche rationnelle qui lui est inhérente. Mais cela ne
suffit pas pour appréhender un organe dont le rôle spirituel indéniable semble
avoir été quelque peu négligé par les occidentaux.
Le savoir sans expérience est
philosophie, tandis que expérience sans savoir est ignorance. La sagesse, c’est
le savoir expérimenté.
La vie en mode survie ou réponse au
stress prolongé est totalement déconseillée ; c’est l’origine des maladies
dont nous souffrons parce que les ressources de l‘organisme sont affectés à sa
défense et à sa protection au détriment des fonctions de régénération et de
réparation.
A chaque pensée correspond une
émotion, un ressenti et des substances chimiques bien précises. On comprend
donc que l’on puisse parler d’accoutumance ici, qui explique que nous ayons
peur de la nouveauté et de l’inconnu, parce que nous sommes comme des
prisonniers qui préfèrent ressentir les mêmes émotions, même si celles-ci sont
nuisibles. Quand les cellules ne reçoivent pas ces peptides auxquelles elles
sont habituées, elles intiment au cerveau de les produire et pour y parvenir il
faut entretenir les mêmes émotions et les mêmes pensées et notre mémoire est
mise à contribution pour cela.
L’organisme humain est une
véritable usine chimique et Candace Pert, auteur de l’ouvrage intitulé
« les molécules d’émotions » affirme qu’il y a un cerveau chimique.
L’expression des gènes dépend du type de peptides reçus par la cellule et se
traduit par la synthèse d’un certain type de protéines. Nous n’exprimons que
1,5% de nos gènes et les 98,5% ont été jusqu’ici considérés comme des déchets,
alors que c’est une réserve énorme de potentiel dont l’activation est
conditionnée par la réception de nouveau types de peptides par la cellule.
Notre état de santé dépend des
protéines synthétisées, et la synthèse des protéines est fonction des gènes
exprimés et cette synthèse est déterminée par le type de peptides reçus au
niveau de la cellule. Le type de peptides est fonction des émotions ressenties,
lesquelles dépendent des pensées entretenues. En résumé notre santé est définie
par le type de pensées que nous entretenons.
De quel type de substances
chimiques produites par notre organisme sommes-nous devenus dépendants ? À
quelles émotions et à quelles pensées correspondent-elles ? Les idées
émises pendant notre monologue interne souvent différentes de celles que nous
exprimons à haute voix sont autant d’indications.
« Je ne peux dire de quel pouvoir il s’agit :
tout ce que je sais, c’est qu’il existe et devient disponible seulement quand
on est dans un état d’esprit où l’on sait exactement ce qu’on veut et qu’on est
déterminé à le réaliser. » Alexandre Graham Bell.
Grâce au lobe frontal ou cortex
préfrontal que l’auteur appelle « une merveille du progrès dans le
processus de l’évolution de l’espèce humaine » il est possible de sortir
de la routine, d’échapper au cercle vicieux ou nous sommes installés en mode
survie. La description des patients lobotomisés montre de grandes similitudes
avec ceux qui sont en mode survie. L’auteur parle même d’une
auto-lobotomisation. C’est en bien utilisant et en contrôlant le lobe frontal
au maximum que nous pouvons parvenir à connaitre et à contrôler nous-mêmes et
notre futur. La volonté, notamment de penser au-delà de notre ressenti et la
capacité du lobe frontal de faire focaliser notre attention, voilà ce qui nous
distingue des autres espèces. Des 400 milliards de bits d’information traités
chaque seconde par le cerveau, le lobe nous permet de ne porter notre attention
que sur 2000.
Veillons à utiliser à bon escient
cette capacité inhérente à notre espèce de choisir sur quoi et pendant combien
de temps porter notre attention ; selon l’usage que nous en ferons cela peut
être un atout ou une malédiction. Nous pouvons rendre notre lobe frontal plus
performant, en augmentant notre capacité de concentration, par l’entrainement.
« Another demonstration of the
power of the frontal lobe involves certainty and clarity of choice. When we
make up our mind about something, independent of present circumstances, the
frontal lobe experiences its greatest moment. When we firmly resolve to be, do,
or even have something-regardless of how long it will take, or what is
happening in our environment, or how our body feels at that particular
moment-we spark this structure of the brain into action. »
« What is so amazing about our
brain and the frontal lobe is that we have the ability to make a thought become
the only thing that is real to us. When we make our thoughts all that is real
and we pay attention to them as if they were, we unite the frontal lobe's
primary functions into a force
as powerful as anything in the universe. » Nous pouvons concevoir et concrétiser une réalité complètement différente de celle vécue actuellement.
as powerful as anything in the universe. » Nous pouvons concevoir et concrétiser une réalité complètement différente de celle vécue actuellement.
« Maybe faith operates when we
hold a particular intention in our mind for an outcome, and we trust and
believe in that outcome more than we believe in what the external world is
telling us. »
«It takes effort to think and to
contemplate new possibilities that exist beyond right and wrong and beyond
known and unknown choices, and that means we have to interrupt the programs
that are hardwired in our brain. »
« Through mental rehearsal,
attention, and repetition, and by firing new neural networks in new
patterns, we cause communities of neurons to wire together in new combinations to create a new level of mind. »
patterns, we cause communities of neurons to wire together in new combinations to create a new level of mind. »
« As we build new neural
networks (patience) and eliminate old ones (impatience), theoretically we send
new chemical and neurological information to the cells of the body, which then change
their old receptor sites. »
En alignant le corps et l’esprit,
nous bénéficions du soutien de la force de l’univers.
L’objectif de l’auteur en écrivant
cet ouvrage est de nous apprendre à construire un nouvel esprit en faisant
évoluer notre cerveau. Il est question de profiter de la biologie du cerveau,
notamment des énormes capacités du lobe frontal de construire de nouveaux
circuits au détriment de ces anciens circuits démodés et inutiles. Cela
commence par la répétition mentale.
La seule chose qu’il nous faut pour
développer de nouvelles habitudes en abandonnant celles qui sont vieilles et
nuisibles est la concentration focalisée, la volonté, la connaissance et la
compréhension.
On distingue deux types de
mémoires, la mémoire explicite qui siège dans le néocortex et la mémoire
implicite qui siège dans le cervelet. C’est par la répétition mentale et la
pratique impliquant nos sens que la mémoire explicite devient mémoire
implicite. La deuxième catégorie, ce sont ces choses que nous faisons
automatiquement, sans y penser.
« If we receive great
knowledge and expert instruction, and we can properly apply that information to
produce action, we should expect to accomplish exactly what we set our mind to
do. »
Avec les savoirs appropriés,
l’instruction et le feedback, il est possible de remplacer les anciens schémas
de pensée, d’action et d’être par de nouveaux schémas et faire évoluer notre
cerveau par de nouvelles connexions synaptiques et nouveaux réarrangement réseaux
neuronaux.
Le processus de changement vise à
passer de personne inconsciemment incompétente à inconsciemment compétente en
passant par consciemment incompétente, puis à consciemment compétente.
Il est possible de contrôler la
pression artérielle grâce au biofeedback et d’une façon générale, on peut
consciemment agir sur des fonctions qui sont du domaine du subconscient.
Nos pensées influent-elles sur notre
réalité ? Les pionniers à la frontière de la science du cerveau
fournissent de plus en plus de preuves pour répondre par l’affirmative à cette
question. Comment est-ce possible ? C’est la physique quantique qui donne
des indications pour répondre.
Avec son approche rationnelle et
logique Descartes a séparé la matière de l’esprit. Et il a dit que la matière
obéit à des lois scientifiques, tandis que l’esprit relève de la philosophie et
de la religion. Ceci a été remis en question quand on a constaté que le
comportement des particules est influencé par l’observation. La nature (onde ou
particule) qu’ils affichent dépend s’ils sont observés ou non. C’est ainsi
qu’on a commencé à soupçonner que l’esprit peut avoir une influence sur la
matière, brisant ainsi la barrière érigée par Descartes entre les deux mondes.
Il existe un champ d’énergie au-delà
du temps et de l’espace, qui nous unit tous. La réalité est un champ de
possibilités infinies sur lequel nous pouvons exercer une énorme influence, à
condition de se mettre dans le bon état d’esprit.
Changer notre esprit, c’est changer
notre perception de la réalité, c’est changer notre vie.
L’environnement est maintenant le
produit ou le reflet de notre esprit, qui a déjà expérimenté et enregistré
l’évènement à venir. Le cerveau est en avance sur la réalité et par la
répétition mentale, il est possible de modifier notre cerveau avant la réalité,
et cet organe n’est plus seulement un enregistrement des évènements passés,
mais aussi de ceux futurs.
« To pray is to hold a single
thought or idea of an outcome in the mind, and make it more real than
our present circumstances. It is intentional thought, which affords us the opportunity to make contact with a greater mind. When we can call upon that innate intelligence living inside of us by making our desire the only real intention, it will answer the call. »
our present circumstances. It is intentional thought, which affords us the opportunity to make contact with a greater mind. When we can call upon that innate intelligence living inside of us by making our desire the only real intention, it will answer the call. »
Il y a d’innombrables évènements
dans les univers possibles infinis de la physique quantique, et nous pouvons
envisager de nouvelles expériences pour nous. Il est possible vivre dans un
futur que nous n’avons pas encore expérimenté par nos sens, mais qui existe
dans notre esprit. Il ne suffira pas de consacrer peu de temps et d’effort pour
transformer notre esprit, il est question de devenir cet esprit même de telle
sorte qu’il soit naturel et facile d’exprimer notre nouveau soi.
Il est possible d’exprimer de
meilleures versions de nous-mêmes, et donc en fin de compte de nous retrouver
dans une nouvelle vie avec de nouvelles circonstances.
090919
Jean-Claude TCHASSE
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