Note de lecture de l’ouvrage: “The spontaneous healing of belief :
shattering the paradigm of false limits” by Gregg Braden. Traduction libre
: La transformation spontanée des croyances
: déconstruire le paradigme des fausses limitations.
La première édition de ce livre de 236
pages a été publiée en avril 2008. Il comprend une introduction et 7
chapitres ; la dédicace de l’ouvrage mérite d’être citée
intégralement : « à
l’instant de notre première respiration, nous sommes infusés de l’unique plus
grande force de l’univers : le pouvoir de traduire les possibilités de
notre esprit en réalité concrète ; le réveil total de ce pouvoir nécessite
néanmoins un changement subtil dans notre façon de nous concevoir nous-mêmes
dans la vie, un changement de croyances ; de la même manière que le son
crée des ondes visibles quand il se déplace à travers une gouttelette d’eau,
nos ondes de croyances traversent la structure quantique de l’univers pour
devenir nos corps et la guérison, l’abondance et la paix ou au contraire la
maladie, le manque et la souffrance que nous vivons ; de la même manière
que nous pouvons ajuster le son afin de changer ses motifs, nous pouvons
ajuster nos croyances pour préserver ou détruire ce que nous est très cher, y
compris la vie elle-même. Dans un monde malléable où tout, des atomes aux
cellules changent pour s’adapter à nos croyances, nous ne sommes limités que
par l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes dans ce monde. Cet ouvrage est
dédié à la reconnaissance de ce prodigieux pouvoir, et notre prise de
conscience que nous ne sommes jamais qu’à une croyance d’une existence de
miracles. »
Voilà qui donne le ton de l’ouvrage.
L’observateur a une influence sur l’expérience observée ; ceci donne-t-il
une idée de notre réalité ? Cela nous indique-t-il qui nous sommes dans
cette réalité ? Il est impossible d’observer une expérience ou tout autre
phénomène sans l’influencer ; qu’il s’agisse du comportement d’une
particule, de notre carrière, de la guérison de notre organisme, nous avons des
idées préconçues et des attentes ; nous vivons dans une réalité
interactive dans laquelle nous changeons le monde autour de nous en changeant ce
qui se passe en nous, pendant que nous observons, c’est-à-dire nos pensées, nos
sensations, nos croyances. Conséquences : de la guérison des maladies à la
durée de la vie en passant par le succès de nos carrières et des relations
humaines, bref, toute notre vie est directement liée à ce que nous
croyons ; donc pour changer note vie (guérison de maladies, amélioration de
nos relations, etc), il faut changer nos croyances. Cette idée de passer du
rôle de victime à celui d’acteur fait perdre sa netteté à la barrière qui
sépare le scientifique du spirituel.
Contrairement à ce que les scientifiques
ont pensé depuis ces 300 dernières années, l’espace entre les objets physiques
n’est pas fait de vide ; il existe un champ d’énergie intelligente dans
cet espace, et ce champ réagit à nos croyances les plus profondes ; c’est
une véritable révolution qui nous donne un rôle central, dans la mesure où
c’est nous qui choisissons nos croyances, dont nos conditions de vie actuelles
sont le reflet. Et l’auteur de nous révéler les faits scientifiques établis
entre 1990 et 2000 sur lesquels il se fonde ; notre univers, le monde,
notre organisme tout ce qui existe fait partie d’un champ d’énergie reconnu
scientifiquement au XXème siècle et que l’on appelle tantôt le champ, l’hologramme quantique, la divine
matrice, l’esprit de Dieu, l’esprit de la nature ; dans ce champ, les
objets qui étaient initialement liés, demeurent connectés, même après leur
séparation physique grâce à un phénomène appelé « entanglement » ;
l’ADN humain influence directement ce qui se passe dans la divine matrice d’une
manière qui semble défier les lois du temps et de l’espace ; la croyance
humaine (avec les sensations et les émotions qui l’accompagnent) modifient
l’ADN, qui à son tour influence la divine matrice ; quand nous changeons
nos croyances au sujet de notre corps, et notre monde, la divine matrice
traduit ce changement dans la réalité de nos vies. C’est une révolution où
l’espèce humaine est ramenée dans les équations de l’univers, d’où les lois de
Newton l’avaient exclue.
Le
pouvoir de choisir est le pouvoir de changer ; le but de l’ouvrage est de
nous faire découvrir comment changer les fausses croyances, identifier les
croyances qui font reculer la maladie, prendre connaissance de celles qui
créent des relations durables et satisfaisantes, découvrir celles qui apportent
la paix dans notre vie, notre famille, et dans le monde. L’auteur précise qu’il
a voulu partager un message d’espoir et de possibilités dans un contexte où les
gens sont conduits à se croire impuissants et désespérés.
Notre monde (nos conditions de vie, nos
expériences, notre vécu quotidien) n’est que le reflet des croyances que nous
acons acceptées, et en reconnaissant ceci la science rejoint nos traditions
indigènes et spirituelles les plus chères. Si les croyances sont donc si
déterminantes pour nous, comment se forment-elles ? D’où
viennent-elles ? Elles se forment à partir de ce que la science,
l’histoire, la religion, la culture et la famille nous dit ; ce que nous
considérons d’une part comme nos possibilités et d’autre part comme nos limites
provient de ce que les autres nous disent. Et que se passe-t-il si ces croyances
sont fausses ? Généralement nos limites supposées sont bien en deçà de nos
possibilités réelles ; nous avons toujours cru être des êtres impuissants
et passifs, condamnés à subir les évènements sans aucune influence possible sur
ceux-ci, nous apprenons maintenant qu’il n’en est rien ; ce livre nous montre
que chacun de nous est dépositaire d’un pouvoir immense, qui nous rend capables
de contrôler les évènements de notre vie, et que la science ne fait que
confirmer ce que des traditions spirituelles anciennes et millénaires savaient
déjà. Nous pouvons stopper, et même guérir la maladie et même modifier la durée
de notre vie, nous pouvons choisir la paix, plutôt que la guerre dans le monde,
nous pouvons choisir l’abondance plutôt qu’une vie faite de manque et de
limitations, et l’auteur nous explique comment procéder dans cet ouvrage. Miraculeux,
n’est-ce pas ? Certains esprits imbus des croyances reçues vous diront que
c’est impossible ; mais l’auteur dit s’appuyer sur les découvertes
récentes de la science, et sur les connaissances des traditions religieuses et
spirituelles anciennes.
L’auteur nous parle d’un yogi appelé
Milarepa qui a vécu au XII ème siècle, et qui posé des actes absolument
incroyables ; ces actes nous donnent une idée de ce peut faire un être
humain qui décide d’exploiter son potentiel ; en effet il a réussi, entre
autres, à passer sa main à travers la roche comme si celle-ci n’existait pas et
y a laissé une emprunte profonde encore visible aujourd’hui, après 900
ans ! Comment réconcilier cet authentique exploit avec nos croyances
actuelles apparemment confirmées par l’expérience ? La roche est dure et
ne peut se laisser traverser par la chaire ; l’univers et ce qu’il
contient est ce qu’il est en raison de la puissance de la conscience
elle-même : nos croyances et ce que nous acceptons comme la réalité. Les
découvertes scientifiques de ces 150 dernières années montrent qu’il y a bien
une corrélation entre la conscience, la réalité et nos croyances.
« Il
y a des choses que nous savons que nous savons, des choses que nous savons que
nous ne savons pas, et d’autres que nous ne savons pas que nous ne savons pas », propos tenus
en juin 2002 au quartier général de l’OTAN en Belgique par Donald Rumsfeld
ci-devant secrétaire d’État américain à la défense. On comprend qu’à l’état
actuel, l’approche scientifique accuse encore des insuffisances et il reste
encore beaucoup de phénomènes inexpliqués ; la science a certes beaucoup
évolué ces deux derniers siècles ; on est passé par exemple en physique
des lois de Newton à la mécanique quantique, mais l’unification des quatre
forces fondamentales de la nature (force gravitationnelle, force
électromagnétique, force forte, force faible) en une théorie des champs unifiée
demeure un défi, même si la théorie des supercordes peut constituer une piste
de solution. En parlant d’évolution, les découvertes récentes remettent plutôt
en question les hypothèses initiales en nous forçant à reconsidérer l’idée même
qu’on se faisait de la matière. Au lieu de considérer l’univers comme étant constitué
d’objets séparés et sans influence les uns sur les autres, les théories quantiques
affirment que l’univers et nos organismes sont faits de champs d’énergie en
perpétuel changement, qui interagissent les uns sur les autres d’une manière
qui nous fait parler de possibilités plutôt que de certitudes. On évolue du déterminisme
classique (modèle boules de billard de l’univers où l’on peut prévoir
avec exactitude le comportement futur d’un projectile, quand on connaît ses
paramètres et ses contraintes) à l’incertitude et la probabilité quantique.
L’énergie quantique peut se présenter sous la forme d’une particule visible ou
d’une onde invisible ; une même particule quantique peut être à deux ou
plusieurs endroits à la fois, et ce qui est intéressant, c’est que de ces
différentes positions la particule reste connectée quelle que soit la distance
qui sépare ces positions ; pour ces particules quantiques, il n’y a pas de
présent, de passé ou de futur : là-bas et ici, maintenant et après, c’est
la même chose. Si ces particules quantiques dont nous sommes constitués peuvent
ainsi échapper aux lois de la physique, qu’en est-il de nous ?
Pouvons-nous réaliser de telles prouesses ? En s’appuyant sur
d’authentiques exploits réalisés par des êtres humains ordinaires, l’auteur
répond oui à cette question. La preuve scientifique de l’existence du champ
déjà évoqué par Marx Planck, appelé divine matrice est le lien manquant entre
les expériences spirituelles de croyances, d’imagination et de prière et les
miracles qui se produisent dans notre monde.
Et si l’univers était un ordinateur de
conscience « consciousness computer » et son évolution, le
déroulement d’une programmation initiale ? Et ce que nous considérons
comme une réalité une simulation virtuelle ? Si nous connaissons les codes
de ce programme, nous connaissons également les règles de la réalité. L’univers
est un ordinateur quantique. Tandis que l’ordinateur fonctionne avec les bits
qui peuvent être 1 ou 0, l’univers fonctionne avec les atomes qui peuvent être
(matière) ou ne pas être (onde). Si on considère l’univers comme un ordinateur,
alors qui est l’auteur de son système d’exploitation ? Pour mieux se
représenter l’univers, on recourt à la géométrie fractale.
L’une des preuves que nos croyances
peuvent affecter notre organisme est l’effet placebo ; on a pu guérir des maladies
graves avec de l’eau distillée salée ou à laquelle on avait ajouté un simple
colorant, ou avec une opération chirurgicale au cours de laquelle aucune
modification n’a été apportée à l’organisme ! Il suffit que le malade soit
convaincu qu’il a reçu un traitement efficace, un traitement qui va le guérir, alors il guérit, alors que le médicament
qu’il a pris n’a aucun principe actif. Autant la conviction intime qu’on va
guérir nous fait guérir effectivement, autant la conviction qu’on va tomber
malade va nous rendre malade ; le contraire de l’effet placebo, c’est
l’effet nocebo, nous tombons malades si un médecin en qui nous avons confiance
nous dit que la substance inoffensive que venons de consommer va nous rendre malade ; cela peut être
la conviction du malade que le traitement qu’il prend ne sera pas efficace, ou
que cela peut avoir des effets secondaires nocifs. Les attentes de
l’observateur influent sur les résultats de l’expérience observée ou mieux,
l’expérience se déroule de façon à produire les résultats attendus par
l’observateur. Quelles sont les convictions que nous entretenons au sujet de
notre corps ? Elles ont une influence indéniable sur notre qualité de vie
et sur la guérison de maladies. Nos croyances ne modifient pas seulement notre organisme,
elles agissent également sur le monde ! Et pour libérer le pouvoir de nos
croyances, pour pouvoir observer les effets de nos croyances, nous devons
croire en nos croyances, reconnaître leur capacité à influer sur le cours des
évènements. Pour cela il faut faire la différence entre la foi, la
croyance et la science. Quelle est la différence entre la croyance et la
foi ? La croyance est l’acceptation qui provient de ce que nous
considérons comme vrai dans notre esprit, ajoutée à ce que nous ressentons
comme vrai dans notre cœur. La croyance est un langage, et pas n’importe
lequel ! Il permet de communiquer avec la matière quantique qui constitue
notre corps et le monde ; la croyance est une expérience personnelle,
c’est notre acceptation de ce que nous avons vécu et expérimenté nous
même ; la croyance, c’est le pouvoir personnel ; le pouvoir de
transformer tout ce que nous voulons réside dans nos croyances ; à travers
nos croyances, nous avons le don de la seule plus puissante force de
l’univers : la capacité de changer notre vie, notre corps et le monde.
Pour mieux saisir le pouvoir des croyances, il faudrait connaître comment elles
se forment et où elles résident dans le corps. L’irruption de la mécanique
quantique a eu des répercussions en mathématiques, en physique et en chimie,
mais pas encore en biologie, qui a continué avec la vision erronée de l’univers
comme entité composée d’objets séparés, en ignorant l’existence du champ d’énergie
appelé la divine matrice, et la connexion entre tous les objets ; quand
nous formons des croyances centrées sur le cœur dans notre corps, nous créons
leur expression électrique et magnétique comme des ondes d’énergie qui ne
restent ni confinées dans nos cœurs, ni limitées par la barrière que constitue
notre peau ; les pensées accompagnées d’émotion créent des sensations
basées au cœur, et des croyances. Le pouvoir des croyances basées au cœur
trouvent leur fondement dans les effets Zeeman et Stark (influences respectives
des champs magnétique et électrique sur l’atome). Il faut faire la différence
entre les sensations (feelings) et les émotions (emotions). Ce sont les pensées
accompagnées de sensations qui sont efficaces ; c’est la prière accompagnée de sensations qui produit
des résultats ; c’est le genre de prière dont parle le Seigneur dans Jean
16 : 24. Prier avec la certitude que nous avons déjà obtenu ce que nous
demandons ; il s’agit de dominer le doute qui nous habite souvent. Quelles
relations y a-t-il entre nos pensées, nos sensations et nos émotions ? Les
pensées chargées d’émotions créent des sensations basées au cœur et des
croyances dans notre corps. Il y a deux émotions principales : l’amour et
la peur ; la colère, la gratitude, la compassion, la jalousie, la paix
sont des sensations, et ce sont ces sensations qui ont le pouvoir transformer
les réalités. On peut écrire l’équation
pensées + émotions (amour ou peur) = sensations ; les sensations se
manifestent de manière parfois inconsciente, quand nous entrons en résonance ou
non avec certaines expériences ou certaines situations ; en effet, nous
sommes des êtres ayant la capacité d’ajuster nos corps et de partager certaines
formes d’énergie ; quand nous entrons en résonance avec l’expérience
vécue, nous la trouvons vraie. Penser d’avance à un évènement présente un
avantage ; cela permet d’envisager tous les aspects possibles et de savoir
déjà si nous sommes en résonance ou non avec la situation prévue en général.
Les souhaits sont des pensées sans émotions ; ce sont généralement des
vœux pieux. Pour être effectives, les affirmations doivent être accompagnées du
pouvoir de notre amour, comme si la situation désirée était déjà réelle. Sans
les émotions, les affirmations sont des pensées vides, ou des souhaits. Il faut
passer des pensées, des souhaits aux croyances (la certitude qui provient de
l’acceptation ce que nous considérons comme vrai, ajouté à ce que nous sentons
vrai dans notre corps) pour produire des résultats ; les prières exaucées
sont les pensées et les affirmations qui sont accompagnées d’émotions ; il
s’agit d’éprouver en y pensant, les sensations que l’on éprouverait si la
situation désirée était déjà arrivée. L’amour ou la peur sont les émotions qui
permettent de transformer nos pensées en réalités. Nos croyances sont les
programmes de notre conscience, et comme nous pouvons choisir ces croyances,
nous sommes les programmateurs, nous sommes les architectes de nos vies, nous
ne sommes plus des victimes d’évènements que nous ne contrôlons pas.
Notre esprit est constitué de deux
parties : la partie consciente et le subconscient ; pendant que la
partie consciente est le siège du raisonnement qui nous permet de réagir aux
différents stimuli, le subconscient ne raisonne pas, il enregistre toutes nos expériences,
c’est le siège de nos croyances, de nos programmes ; il est plus important
et plus rapide que la partie consciente ; le subconscient ne distingue pas
ce qui est imaginé de ce qui est réel ; c’est ce subconscient qui
transforme nos croyances en réalités. Nos conditions de vie actuelle, notre
situation, nos expériences sont le reflet des croyances ou des programmes
implantés dans notre subconscient.
L’auteur donne deux exemples de
l’influence de nos croyances sur la durée de notre vie ; dans le premier
concerné ayant su que son père et son grand père étaient décédés à 75 ans était
convaincu qu’il ne pouvait pas aller bien au-delà de cette limite, et c’est ce
qui s’est passé ; il est mort à l’âge de 76 ans ; dans le second cas
avec des ascendants morts à 35 ans, le sujet a pu créer une croyance qui lui
permis de dépasser cet âge qui semblait être une limite. Pour mener une vie
longue, bien remplie et en bonne santé, il faut transformer les croyances
limitantes qui sont au centre de nos blessures les plus profondes. Et l’auteur
de poser la grande question au centre de nos vies, car il explique que la
réponse à cette question constitue la croyance qui nous guide de manière inconsciente.
La question est la suivante : croyez-vous
qu’il y ait une seule origine pour tout ce qui arrive dans ce monde, ou
croyez-vous en l’existence de deux forces opposées (le bien et la mal), l’une
nous aimant et l’autre ne nous aimant pas ?
Comme exemple de ce que peut produire la
détermination à réussir là où personne d’autre l’avait fait avant, combinée à
la conviction qu’elle serait la première à le faire, l’auteur cite l’exemple de
Amanda Dennison, une canadienne de l’Alberta qui, en 2005 a battu le record de
la plus longue marche homologuée pieds nus sur des charbons ardents : plus précisément, elle a parcouru environ 65
mètres sur des charbons dont la température dépassait 900°, et cela sans la
moindre égratignure. Pour mémoire la température d’ébullition de l’eau est
100°. Selon nos croyances habituelles, il nous est impossible de marcher ne
serait-ce que un mètre sur le feu sans se faire brûler gravement. Certains
disent que c’est de la magie. La science n’a pas encore trouvé d’explication
rationnelle à ce record. Pourtant c’est un exploit à la portée de chacun de nous.
Anthony Robbins organise régulièrement des séminaires où il apprend aux
participants, communs des mortels comme chacun de nous, à développer l’état
d’esprit nécessaire pour y parvenir. De la même manière on peut cultiver et
développer l’état d’esprit nécessaire pour guérir d’une maladie dite incurable
(on a vu des tumeurs cancéreuses disparaître littéralement, des estropiés qui
retrouvent l’usage de leurs membres), pour sortir de situations apparemment
inextricables, pour mener une longue vie en bonne santé, dans l’abondance
matérielle, faite de rapports harmonieux et enrichissants, etc. Ce ne sont pas
des extra terrestres qui y parviennent. Ou alors il faut déconstruire la fausse
croyance qu’il faut recourir aux pratiques mystiques, magiques, occultes,
ésotériques, ou à la sorcellerie pour y parvenir ! Ceux qui parviennent à
construire des immeubles de plusieurs étages, qui s’achètent des Lamborghini et
autres Hummer, à bâtir des fortunes colossales comme Crésus, Bill Gates, Donald
Trump, Rockefeller, Aliko Dangoté, Warren Buffet, la famille Bettencourt,
Michael Bloomberg, Larry Page et Sergey Brin de Google, Mark Zuckerberg de
Facebook et bien d’autres n’ont pas de cornes sur la tête ; ce sont des
êtres humains qui ont su réaliser leurs potentiels à des niveaux très élevés
Si nous voulons changer nos performances
et nos résultats, nous devons changer, c’est-à-dire entretenir de nouvelles
pensées chargées d’émotions.
Il existe deux voies pour transformer
nos croyances : par la logique ou par les miracles ; pour changer les
croyances par la logique, nous devons nous convaincre de l’existence de
nouvelles possibilités par des faits indiscutables qui conduisent à une
conclusion incontournable. Par la voie des miracles, qui sont des évènements
inexplicables par les lois de la nature, nous adoptons de nouvelles croyances
quand nous sommes témoins ou prenons connaissances des faits réels et concrets
qui échappent à l’explication rationnelle, comme par exemple ceux évoqués dans
l’ouvrage.
Le manuel d’utilisateur de la réalité
est la réalité elle-même ; dans les mots de la prière dominicale se
trouvent le grand secret pour programmer notre univers, et c’est caché en
pleine vue.
En fin de compte, que retenir de ce
livre ? Nous détenons le pouvoir prodigieux de changer nos réalités en
changeant nos croyances. Il est tout à fait possible de dépasser nos limites
passées, et de réaliser des prouesses comme celles évoquées dans cette note de
lecture ; oui, une autre vie faite de possibilités de liberté est possible.
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